Ne manque pas les occasions subtiles de gagner de l'huile !

12/7/2024

Satan prend les plus petites choses bêtes, et veut en faire une dose quotidienne des « tentations de Jésus dans le désert » après des années de pratique égoïste débridée : le cerveau qui tourne en rond, imagine, craint, veut, convoite, compare, éprouve du ressentiment, ricane, rayonne, vagabonde. Toutes nos façons stupides de fuir ou de déverser l’huile du Saint-Esprit qui aurait pu être disponible pour la communion avec la Divinité et jouer Son rôle sur la Terre, plutôt que le rôle d’un mammifère sauvage stupide de plus, vivant plus pour lui-même que même un cheval ou un chien ne pourrait le faire.

Voici l’exemple ridicule qui m’a rappelé à quel point nos « tests dans le désert » peuvent être absurdes, et pourtant nos esprits sauvages non entraînés manquent souvent l’occasion de gagner de l’huile, plutôt que de perdre de l’huile.

Voici à quel point nos tests dans le désert 100 fois par jour peuvent être subtils, à quel point il est facile de « rater » l’occasion et de perdre de l’huile.

Dans un avion, tout à l’heure, j’ai été « tenté » de penser, non pas « Wow, j’aimerais bien avoir les royaumes de la terre » ou « j’aimerais bien transformer ce rocher en pain » - mais « je me demande pourquoi je sais plier l’appui-tête pour bercer ma tête, et que je ne vois jamais personne d’autre le faire ».

Quelle horreur !

Ne rate pas les tentatives pour acquérir de l’huile en ayant un esprit indiscipliné ! Par habitude, par paresse, par convoitise, ou pour toute autre raison ou excuse !

Si Subtil.

Si Essentiel.

Nous devons reconnaître, nous devons apprendre, nous devons rejeter. Nous ne pouvons pas cesser d’en parler jusqu’à ce que cela cesse de se produire chaque jour, chaque soir - comme si nous n’en avions jamais parlé. « Mais j’ai pensé », « Mais je t’ai entendu dire », « Mais qu’en est-il d’eux », « Mais ce n’est pas ce que je voulais dire », « Mais j’essaie, alors pourquoi personne ne me félicite », « Dieu est si dur alors s’il n’arrête pas de me gronder sévèrement et de me récompenser pour mes efforts, autant abandonner - je n’y arriverai jamais ».

Maintenant. Écoute attentivement, s’il te plaît.

Il n’y a « pas de place dans l’auberge » - pas de place pour le Messie en nous, pour changer le monde ou quoi que ce soit d’autre, si nous ne prenons pas des mesures contre a href="https://ensemble-en-jesus.com/deplace-des-montagnes">« la radio » (« le moteur » - feu étrange, la « fuite d’huile » de la vierge).

(« Radio » = nos pensées bruyantes, bavardes et analytiques qui ne viennent pas du Christ - notre radio de complaisance, d’autojustification, d’accusation et de jugement, de morosité, de boucles, de fantasmes, de comparaison, d’orgueil, de peurs, et bien d’autres choses encore).

Le problème avec le fait de « s’apitoyer sur moi-même », c’est que... attends un peu... le mot « moi » est dans la phrase - en tant que source de l’émotion appelée « chagrin ». Toute pensée, décision, état d’esprit ou réaction qui comporte le mot « moi » sera toujours un pas intentionnel loin de Dieu, aussi sûrement que si Jésus avait transformé une pierre en pain, en rationalisant « mais j’ai faim ! ». Et « personne n’a besoin de faire ça ! » Et « Dieu aime la nourriture parce qu’il l’a créée ! » etc. etc. etc. Moi, moi, moi, moi, moi. Justification, excuse, compromis.

La négligence de mammifères sauvages.

TU n’as pas été créé pour ça, pour perdre de l’huile, comme une voiture de la casse.

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