Les Traditions des Hommes dans les Églises de l’Homme
Cela n'a jamais été l'idée de Dieu d'avoir un Christianisme qui est principalement défini par des bancs, des sermons du Dimanche à un public bien habillés, « Dimanche ‘Amenez Votre Voisin’, » des comités, des religieux professionnels – du « personnel » employés par une église pour être leurs dirigeants, ni rien de semblable. Et, OUAH, que dire de tous ces mauvais fruits venant de cela - si différents de Jésus ou de ce qu'Il désire. Sans oublier qu'aucune église dans la Bible, avec la direction de ceux qui marchèrent personnellement avec Jésus, ne ressemblait à RIEN de ces choses stupides de ce que les hommes ont fait et appelées « église » et « christianisme. » Si vous deviez supprimer tous ces accessoires, y aurait-il quoi que ce soit qui resterait dans votre église ? YA T-IL une alternative qui honore Dieu, des vies ensemble vivant la Vie de Jésus, défaisant le diable, et en fait ressemblant à ce que la Bible a toujours décrit comme le Christianisme dans Actes 2:36-47 ? Oui.
24/10/1989
Est-ce Que Les Traditions des Hommes Sont Vraiment « Neutres » aux Yeux de Dieu ?
La vérité est que ces traditions que nous avons tenues si chère ont fait d’énormes dégâts au Corps du Christ. Elles sont devenues un substitut commode pour la Tête et la Seigneurie de Jésus-Christ dans Son Église.
Jésus répondit et leur dit : « Isaïe a bien prophétisé sur vous, hypocrites, comme il est écrit : ‘Ce peuple M’honore des lèvres, mais leur cœur est éloigné de Moi. C’est en vain qu’ils M’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes’. Vous abandonnez le Commandement de Dieu, en observant la tradition des hommes… » (Marc 7: 6-8).
Jésus Lui-même violait constamment l’apparence « inoffensive » des traditions et des « expédients » en sachant très bien que ce remuerait l’indignation religieuse de Ses chefs religieux. Un exemple :
« Pendant que Jésus parlait, un pharisien L’invita à dîner chez lui. Il entra et se mit à table. Le pharisien vit avec étonnement qu’Il ne s’était pas lavé avant le repas. Mais le Seigneur lui dit : ‘Vous, pharisiens, vous nettoyez l’extérieur de la coupe et du plat, mais à l’intérieur vous êtes pleins d’avidité et de méchanceté. Hommes dépourvus de bon sens ! Celui qui a fait l’extérieur n’a-t-Il pas fait aussi l’intérieur ? Faites plutôt don de ce que vous avez à l’intérieur, et alors tout sera pur pour vous. Mais malheur à vous, pharisiens, parce que vous payez la dîme de la menthe, de la rue et de chaque plante et que vous négligez la justice et l’amour de Dieu ; voilà ce qu’il fallait pratiquer, sans négliger le reste. Malheur à vous, pharisiens, parce que vous aimez occuper les sièges d’honneur dans les synagogues et être salués sur les places publiques. Malheur à vous, [spécialistes de la loi et pharisiens hypocrites,] parce que vous êtes comme des tombeaux qu’on ne remarque pas et sur lesquels on marche sans le savoir.’ Un des professeurs de la loi prit la parole et lui dit : ‘Maître, en parlant ainsi, c’est aussi nous que tu insultes.’ » (Luc 11:37-45 )
Remarquez combien simple cela aurait été d’avoir simplement pris les devants et de se laver les mains, comme les chefs religieux voulaient qu’Il fasse. Est-ce que de montrer un peu d’amour Chrétien, de courtoisie et de patience ne dictent pas « de faire le km supplémentaire » ? Ça pourrait blesser quoi ? « Nous devons rencontrer les gens là où ils sont » et être « toutes choses à tous les hommes, » n’est-ce pas ?
En fait, vous le savez, Jésus est la personnification complète de l’amour - LUI et LUI SEUL est notre définition de ce qu’est l’amour, la patience et la courtoisie Chrétienne. « Toutes choses à tous les hommes ? » Seule la vie de Jésus peut vraiment définir ce que « toutes choses à tous les hommes » signifie au Père. Et Jésus fit beaucoup de choses, comme cet événement apparemment rude du dîner où Il fit sauter cette tradition. D’autres fois, Jésus et les disciples allèrent à travers les champs de céréales le Jour du Sabbat et, délibérément, à la vue des critiques religieux, dévastèrent leur interprétation et lien de ce qui avait commencé comme un véritable principe de Dieu. Ces sincère « experts de la Loi » s’étaient mis en opposition à Dieu Lui-même par la façon dont ils appliquèrent les Ecritures. Et Jésus les opposa, sans aucune considération pour leurs interprétations d’homme. Pourquoi ? Nous espérons découvrir la réponse à cette question, alors que nous continuons. Soyez dans la prière !
La quantité de rituel que Jésus développa en marchant dans les rues avec Ses Douze amis est exactement la quantité de rituel qu’Il voulait pour Ses Disciples d’aujourd’hui. Les Douze, bien formés dans ce que le Christianisme devait et ne devait pas être, eurent ensuite à diriger les 3108 + nouveaux Chrétiens dans la Vie du Christ après le Jour de la Pentecôte, dans la plénitude de leur vie avec Jésus. Ce qu’ils ont apporté à la multitude croissante de ceux qui avaient donné leur vie au Fils…est la quantité exacte de rituelle et de chorégraphie préprogrammée (« ordre du culte, » « une liste d’hommes pour le service, » etc.) pour nous aussi. Et, que la vérité soit connue, même avec plusieurs milliers de membres dans une assemblée de l’église du Christ de la Bible, il n’y a même pas un soupçon de programmes, de rituels ou de gadgets. Il n’y avait pas d’organisation - du moins la façon dont nous l’avons fait - style IBM ou AMWAY. Aucune plumaison de versets et d’imagination active. Une fois encore, nos ajouts d’homme à l’Église de Dieu, souvent désignés comme « traditions inoffensives, » ont effectivement bloqué la plupart de l’activité désirée de Dieu sur cette planète, depuis quelque temps, même avant 100 après. J.-C (les traditions ajoutées à un manque de sainteté personnelle, une marche par la foi peu fréquente, et une complaisance socialement acceptable).
Bien que nous ayons dérivé loin des meilleures façons de Jésus, au moins, ces programmes et ces astuces et ces hiérarchies ont été quelque chose à laquelle on pouvait s’accrocher pour ces nombreuses générations. Certains soutiennent à juste titre que la plupart du « fruit » que nous avons vraiment eu dans nos églises a été le produit de ces choses externes, ces hiérarchies et programmes. C’est tellement vrai. Et les enfants ont besoin de règles et d’un cadre extérieur pour pouvoir opérer. Les hommes mutilés ont besoin de béquilles et de fauteuils roulants. Mais que faire quand les enfants grandissent ? Et si le Corps ratatiné et atrophié était guéri ? Et si l’église arrive à maturité dans la Stature du Fils… ?
De la Nourriture pour Réfléchir…et Digérer !
Du Vocabulaire Religieux Qui Est Réellement Inexistant Dans La Bible (Des Mauvaises Traductions Enseignent Des Concepts Peu Profonds Ou Erronés)…
« L’EGLISE » « le Ministère » « le Baptême »
« La Religion » « le Pasteur » « la Prière »
« Le Christ » « l’Apôtre » « le Salut «
Bien que ces mots soient monnaie courante dans la Chrétienté d’aujourd’hui, et dans les traductions de la Bible que nous avons dans notre langue, en fait, utilisent ces mots, je voudrais que vous réfléchissiez avec moi pour un instant. Que faire si les paroles que Jésus parlait aux foules, et les paroles que Paul écrivit aux églises de son temps véhiculaient un sens entièrement différent de celui que nous entendons ou lisons aujourd’hui ? Le mot « gay » (« gai » en anglais) par exemple, ne veut pas dire ce qu’il voulait dire, n’est-ce pas ? Les « années 90 gays » ? Vous comprenez le point. Le système religieux d’aujourd’hui (plus par héritage que par tromperie manifeste, bien sûr) a adopté un vocabulaire ecclésiastique, mal traduit, ou des mots « translittérés » de la Bible. Malheureusement, ces mots ne représentent pas du tout ce à quoi Jésus ou Paul ou les autres pensaient quand ils en parlèrent ou écrivirent entre eux. En lisant vos Bibles, désormais, essayez d’entendre ce qu’ils entendirent, plutôt que d’entendre ces termes religieux dans leurs significations dégénérées de l’époque actuelle. D’accord ? Regardez y - c’est une recherche amusante et stimulante pour la Vérité.
Certains Concepts Fondamentaux du Monde Religieux D’aujourd’hui - Qui Sont Inexistants Dans L’église De La Bible
Cultes Ecole du Dimanche
Sermons Ecoles Chrétiens
Recrutement et licenciement des Prédicateurs Chorales
(Curriculum vitae, essais, entretiens)
Dimanche comme le Jour spécial
Des hommes choisis à l’avance pour des Réunions Chrétiennes, pour y prier, y prêcher ou y conduire des chants etc, etc, etc, etc…
Un Peu d’Histoire…Paul n’Avait Pas de King James, de Sermons Préparés d’Avance et, n’Est Pas Allé à des Cours Bibliques et à des « Cultes »
Bâtiments d’Eglise………………Les racines originales des « bâtiments d’églises » chrétiens, semblent avoir été un peu plus tôt que 320 apr. J.-C. quand l’Empereur Constantin décida que toutes les religions païennes avaient des Temples, donc son nouveau dieu, Jésus Christ, devait avoir des Temples aussi. Les archéologues n’ont trouvé aucun vestige, que ce soit, de tout ce qui pourrait être interprété comme une structure religieuse Chrétienne durant la vie de Jésus, ou des Douze, ou pour 200 ans après. Ce qui est remarquable dans la lumière du fait est que pratiquement tous les dizaines de milliers de nouveaux convertis au Christianisme avaient grandi « allant à l’église » - soit allant au Temple Juif ou dans des Synagogues, ou allant dans des Temples Païens. Cela aurait été la chose la plus logique et naturelle du monde pour les Chrétiens de construire de grands bâtiments (comme les hommes le font aujourd’hui) et d’avoir « des cultes. » Mais ils ne l’ont pas fait. Depuis deux siècles. Pourquoi pas ? Parce que le concept « d’aller à l’église » sur une journée spéciale à un endroit spécial est totalement opposée à l’essence et, à la substance de Jésus et, à l’Église de la Bible qu’Il mourut pour établir.
Prenez quelques instants pour prier à travers quelques réflexions avec moi, qui sont au cœur même de ce que Jésus apporta du Ciel à la Terre…une Communion avec la Divinité dans Son Église. Cela pourrait vous changer à jamais. Et c’est passionnant aussi !
« Toutefois, le Très-Haut n’habite pas dans des temples faits de main, comme dit le prophète :« Le Ciel est Mon Trône, et la terre est Mon marchepied. Quelle maison Me bâtirez-vous ? dit le Seigneur, ou quel est le lieu de Mon repos ? » (Actes 7:48-49 )
« Et les douze portes étaient douze perles : chaque porte était d’une seule perle. Et la rue de la ville était d’or pur, comme du verre transparent. Mais je ne vis point de temple en elle, car le Seigneur Dieu Tout-Puissant et l’Agneau est son temple. » (Apocalypse 21:21-22 )
Voila le cœur de Dieu. Et Son église est toujours « selon le modèle, » « sur la terre comme au Ciel. » Une Communauté vivante, vitale et vraie (l’Eglise) de Croyants qui possèdent, pour le moment, une certaine structure avec un toit sur elle, n’est pas la question ici du tout. Cela n’a vraiment rien à voir avec ce que nous considérons ici. Nous sommes juste désireux de voir clairement ce « christianisme » qui « a une forme de piété » mais qui nie la réalité de celui-ci dans leur vie collective ou individuelle.
Encore et encore, la Parole de Dieu témoigne d’une nouvelle Manière Glorieuse. La nouvelle église dans la ville d’Éphèse, à titre d’exemple, était confrontée à un défi grave. Cette ville était rehaussée par la présence ombrageuse d’une des sept merveilles du monde, le Temple de Diane. La dénomination qui prévalait dans leur ville (à partir de laquelle beaucoup d’entre eux furent sans doute convertis à Jésus) était le meilleur bâtiment d’église du monde. Comment les chrétiens pouvaient-ils rivaliser avec ça ?! Paul passa beaucoup de temps dans sa lettre à élever « les yeux de leur cœur » pour qu’ils voient la Vision grandiose d’un Royaume, et d’un « bâtiment d’église » qui ne peut être vue qu’avec des yeux de l’Esprit (Jean 3:3, 8 ; 1Cor 2:8-16 ; Mat 11:25-27) ! Oh, que ce « chemin nouveau et vivant » dépasse de loin tout ce qui pourrait être contenu dans des bâtiments construits par de simples hommes. Dieu fait de VOUS une Habitation, une Maison pour Sa Gloire ! Ne soyez pas si impressionnés par l’architecture d’hommes ; vous êtes des « pierres vivantes » - extraites de la même méga pierre que Jésus Lui-même !
« Il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble [aujourd’hui] dans les lieux célestes en Christ Jésus… » (Ephésiens 2:6 )
« Maintenant, donc, vous n’êtes plus des étrangers et des nomades, mais des concitoyens avec les saints et membres de la famille de Dieu, ayant été construit sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ Lui-même étant la pierre angulaire, dans lesquels l’ensemble du bâtiment, étant joints ensemble, grandit en un temple saint dans le Seigneur, en qui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation de Dieu dans l’Esprit. » (Éphésiens 2:19-22 )
(Voir aussi Mat 24:1-2. ; Jn 2:18-22. ; Marc 14:58. ; 1 Cor 3:9-10. ; 1Pierre 2:1-12. ; Isa 51:1-2 ; Jn 14:1-3 , 14:15-21)
NOUS SOMMES SON TEMPLE !!! Nous sommes Sa Demeure ! Nous sommes le seul Bâtiment d’Église Chrétien qu’il y aura à jamais ! Des gens…pas des lieux et des horaires. Nous serons dans des endroits et à certains temps, à certains moments, mais si nous tournons autour d’eux, quelque chose cloche sérieusement. Ce n’est pas Son Eglise, Son Royaume, si c’est soumis à, ou décrit par, un certain endroit à une certaine heure !
« Maintenant, quand Il fut questionné par les Pharisiens quand le Royaume de Dieu viendrait, Il leur répondit et dit : ‘Le Royaume de Dieu ne vient pas de telle manière que l’étude scientifique [‘parateresis’] pourrait le détecter ; ni pourraient-ils dire : ‘Le voilà !’ ou ‘Il est là !’ Car en effet, le Royaume de Dieu est à l’intérieur de, au milieu de, vous tous.’ » (Luc 17:20-21 )
« Et ne mettez pas votre cœur sur ce que vous mangez ou buvez ; ne vous inquiétez pas de cela. Car le monde païen court après toutes ces choses, et votre Père sait que vous en avez besoin. Mais cherchez Son Royaume, et ces choses vous seront aussi données.
« N’ayez pas peur, petit troupeau, car votre Père a été heureux de vous donner le Royaume. Vendez vos biens et donnez aux pauvres. Pourvoyez des bourses pour vous-mêmes qui ne s’usent point, un trésor dans les cieux qui ne sera pas épuisé, où le voleur n’approche pas et où la mite ne détruit pas. Car où est ton trésor, là sera aussi ton cœur. » (Luc 12:29-34 )
Jésus lui dit : « Femme, crois-Moi, l’heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père. Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous savons ce que nous adorons, car le salut vient des Juifs. Mais l’heure vient, et elle est déjà là, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité, car le Père est à la recherche de telles pour L’adorer. Dieu est Esprit, et ceux qui L’adorent doivent L’adorer en esprit et en vérité. » (Jean 4:21-24)
« Mais maintenant que vous avez connu Dieu, ou plutôt que vous avez été connus de Dieu, comment est-il possible que vous vous tourniez à nouveau à ces faibles et pauvres rudiments, auxquels vous désirez à nouveau être dans la servitude ? Vous observez les jours et les mois et les saisons et les années. Je crains pour vous, que j’ai travaillé pour vous, en vain. » (Galates 4:9-11)
Combien précieux et génial de voir ce que Dieu a vraiment fait pour nous et en nous, et de vivre cela au maximum. De tourner autour des heures, des lieux et des agendas prédéfinis des hommes, au lieu de permettre au Chef de l’Eglise, Jésus Lui-même, à diriger nos vies et nos rassemblements est de perdre un héritage glorieux. Nous sentons le besoin de couvrir notre pari d’avoir « une bonne expérience de l’adoration », en préparant de manière intelligente des discours convaincants (à partir de la Bible, bien sûr) des jours ou des semaines ou des années en avance et, de pré-planifier des chansons et la liturgie et des acteurs impliqués dans la mise en scène dramatique du « Culte. » Cela n’a jamais été l’idée de Dieu d’avoir un Christianisme qui est principalement défini par des bancs, des sermons le Dimanche à un public bien habillés, « les Dimanches ‘Apportez Votre Voisin’, » des comités, des religieux professionnelles, « du personnel » employé par une église pour être leurs dirigeants, ni rien de semblable. Et au fil du temps, nous avons vu le résultat de cette chose, qui est loin de la manière de Jésus et des Douze et de l’Eglise qui les connaissaient. Les vies des hommes et des femmes, des filles et des garçons sont inutilement délaissées comme des proies faciles pour les pressions du monde et les attaques de satan. Il y a vraiment des enjeux considérables. La vraie chose est une église, comme le Christ Jésus a dit, que « les portes de l’Enfer ne peuvent pas résister. » Les programmes et les traditions n’ont pas fonctionnés. Seul le Christ exprimé dans Son Peuple - une Eglise véritablement « jointes et liés ensemble par tous les ligaments de soutien, » un Royaume de Prêtres, une famille fonctionnant dans Sa Voie plutôt que celle de l’homme, peut vaincre les puissances des Ténèbres.
Comme nous nous aventurons en arrière pour prendre un regard rationnel sur l’histoire religieuse, pour voir comment nous sommes arrivés où nous sommes, nous trouvons que le christianisme genre « bâtiment d’église » prit un nouveau bond dans les années 1500. Les Protestants prirent les Temples vides des Catholique après la Réforme de Luther et les utilisèrent pratiquement de manière identique que les Catholiques Romains. Citant l’apôtre Paul : « C’est la même chose maintenant. » Un besoin certain de « réformes » fut incorporé durant la vie de Luther. Ceci est hors de question, et nous devons être reconnaissants que des hommes comme Luther fussent prêts à risquer leur vie pour contester la structure du pouvoir religieux, jalousement gardée de leurs jours. Néanmoins, une quantité considérable de « bagages, » qui est toujours en train de contrôler la plupart de la scène religieuse à ce jour, a été réalisée pendant les jours de Luther comme moine.
L’Eglise que Jésus construisit (et qu’Il construit) n’est pas un « ici ou là, » liée à un Royaume d’horaires et de lieus - comme toutes les autres religions du monde, et comme le Judaïsme, l’ont été.
Est-ce que cela signifie moins d’activité, moins de fruit, et moins de rassemblements dans l’Eglise ? NON !!! Beaucoup, beaucoup plus ! Dieu a permis les béquilles des bonnes intentions religieuses et la promotion de la Cause de Dieu par les hommes, pour un temps, à cause de la dureté de nos cœurs. « Mais ce n’était pas comme ça depuis le début ! » Dieu donna aux « enfants » un Samedi « jour saint/férié. « Il nous a donné Jésus Christ, le « Repos du Sabbat » (Heb 4:1-11 ; Mat 11:25 - 30 ). Tous les jours, soit en étant seul ou quand nous sommes tous rassemblés, est tout aussi incroyable quand on est vraiment « assis avec Christ dans les Royaumes Célestes, » « vivant et bougeant et ayant notre être en Lui. » Lorsque nous vivons pleinement en Lui, les béquilles de la tradition, la prévisibilité par cœur des jours et des horaires, et des agendas imaginatifs sont limitant par rapport à ce qui pourrait arriver sans eux, parmi le Sacerdoce Royal. Le Peuple de Dieu est impressionnants, quand il est libéré pour vivre Sa Vie Ensemble, plutôt que de simplement étudier et chanter à Son sujet !
Est-ce que ce serait les hommes et les femmes non régénérés et non engagés, qui généralement demandent un « Royaume ici ou là » avec des horaires et, des lieux sur le calendrier ; et un programme de ce qui se passera quand (ou si) ils sont présents ? Pourquoi auraient-ils un intérêt direct dans le rituel ou les traditions ou la prévisibilité ? Parce que « cherchez d’abord le Royaume » est une corvée ! Peut-être que la poursuite de la Vie de Dieu et de Son Rassemblements au « quotidien en public et de maison en maison » n’est pas assez commode pour accueillir la vie idolâtre du 20ème Siècle ?
C’est la voie de Dieu, une Nation Sainte cherchant d’abord le Royaume, avec Jésus Vivant à l’intérieur d’eux :
« Ils persévéraient dans l’enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain et dans les prières. La crainte s’emparait de chacun et il se faisait beaucoup de prodiges et de signes miraculeux par l’intermédiaire des apôtres. Tous ceux qui croyaient étaient ensemble et ils avaient tout en commun. Ils vendaient leurs propriétés et leurs biens et ils en partageaient le produit entre tous, en fonction des besoins. Chaque jour, avec persévérance, ils se retrouvaient d’un commun accord dans les courts du temple ; ils rompaient le pain dans les maisons et ils prenaient leur nourriture avec joie et simplicité de cœur. Ils louaient Dieu et avaient la faveur de tout le peuple. Le Seigneur ajoutait chaque jour à l’Eglise ceux qui étaient sauvés. » (Actes 2:42-47 )
Les seuls aspects « culturels » du passage ci-dessus sont ceux des « étrangers, » des « pèlerins » et des « nomades » qui avaient été traduits de l’égoïsme dans « le Royaume du Fils Bien-Aimé. » Purement et simplement, ceux qui ont Jésus Lui-même vivant à l’intérieur d’eux, « marchent comme Jésus a marché » - « consommés avec zèle pour la Maison du Père. « Vivez simplement Luc 6:1-14:35 et vous finirez avec quelque chose de très semblable à Actes 2 ! Pouvez-vous penser à de bonnes raisons pour ne pas vivre pour Celui qui est mort pour vous ? Moi non plus. Faisons-le !
D’Autres Origines Intéressantes…
École du Dimanche - 1840, USA
(Maintenant, nous nous sentons désolés pour une église sans « Ecole du Dimanche. » Certains disent : « Quand ils seront plus grands, ils peuvent être une vraie église comme celle de laquelle Pierre et Jean firent partie…l’une avec une « Ecole du Dimanche » et l’autre une « Eglise pour Enfants. » En fait, l’école du Dimanche est une notion très récente faite par l’homme, pour « classifier » ce que Jésus et les Apôtres firent sortir volontairement de la mentalité de classe des Juifs et des Grecs !)
Les Bancs - Moyen Âge, Catholique Romain
Les Chaires - 600 après J.-C : Catholiques Romains ; 1520 après J.-C : Martin Luther
Les Vitraux - vers 800 après J.-C
Les Séminaires - 1300 après J.-C
(Pour « former » des hommes pour le « ministère » - totalement étrangers, en tant que tels, aux voies et aux enseignements de Jésus et au Nouveau Testament. Dans le Royaume de Jésus, les hommes sont élevés dans le creuset de la Vie, jamais comme des dirigeants de classe des « tubes à essais ».)
Des Collèges Chrétiens - 1640 après J.-C
(Pour fournir « l’éducation chrétienne »)
La Robe du Dimanche Matin - Moyen Âge
(Les cravates - évoluèrent des hommes en compétition pour voir qui pourrait porter la serviette la plus chic à dîner. Les talons hauts évoluèrent, disent les archéologues et le National Géographique, des bouchers Egyptiens ne voulant pas se promener dans les restes de leur profession.)
Rappelez-vous qu’il n’y a rien de mal, en soi, d’avoir de « beaux vêtements » ou des cravates ou des talons. Pourtant s’attendre à des « beaux vêtements » pour les « Cultes du Dimanche Matin, » croyez-le ou non, est incompatible avec à la fois, l’enseignement et le style de vie du Chef de l’Eglise, Jésus-Christ.
« Eh bien si vous vous habillez pour aller aux funérailles de votre oncle, pourquoi ne pas s’habiller pour aller à l’église ? »
Bien que cela semble logique pour la mentalité bourgeoise Américaine et Européenne du 20ème siècle, ce n’était pas et n’est pas le chemin de Jésus, ou de l’Église qu’Il a établie, de « s’habiller » pour « aller à l’église. » IL ne l’a pas fait, ils ne l’ont pas fait, et nous n’avons pas besoin de le faire.
Je sais que tout cela semble étrange, à la lumière de tout ce que nous avons vu en grandissant dans la Chrétienté. Rappelez-vous cependant, que nous ne voyons pas les résultats de l’Eglise, que nous lisons dans la Bible non plus, voyons-nous ? Ce n’est tout simplement pas des futilités ! Nous avons été anesthésiés par les traditions apparemment inoffensives des hommes, et il est temps de mettre les moyens enfantins derrière nous ! (Marc. 7:13 , 12:38-40). Comme l’Apôtre Paul l’écrivit, ne permettez pas à quiconque de vous juger alors que vous vivez dans la Liberté de l’Evangile de Jésus (ne soyez pas contradictoires, bien sûr, mais voyez les choses comme Dieu les voit).
En voici encore quelques exemples pour s’émerveiller :
Les Prédicateurs, Pasteurs (comme orateurs principaux, les MC, ou les chefs d’entreprise à l’église) - 1520 après J.-C. Luther utilisa la reconversion d’anciens prêtres pour continuer à « enterrer les morts, » pour les cérémonies de mariage, et, au cours de sa version Protestante de la Messe Dominicale, à prononcer des discours, ou des « sermons. » Pouvez-vous voir les similitudes ?
Des faux Cols Spéciaux pour le « Clergé » - Bien sûr, Jésus dénonça la pratique du port spécial d’habit pour attirer l’attention sur sa religiosité ou ses compétences, déjà à son époque. Plus récemment, certaines sources indiquent que nous avons une dette aux « Cavaliers de circuit » Méthodiste dans les jours de la frontière Américaine. Apparemment, comme ils galopaient d’un camp à un autre à cheval prêchant à qui voulait l’entendre, ces « Cavaliers de circuit » sont venus à avoir une marque en portant des bandanas autour de leur bouche et nez pour la sueur. Ils faisaient ensuite glisser les bandanas en bas autour de leur cou quand ils arrêtèrent pour prêcher. Ainsi, il semble, le « col du clergé » moderne était né. Idiots, ne sommes-nous pas ?
Des Clochers, des Cloches, des Autels, des Conseils de Mission, des Services de Louange (comme tels), et « Les Ministères de Joe Schmoe, Inc » - Faut-il continuer ?
Aucune de ces choses caractérisaient le Christianisme du Premier Siècle. En fait, elles mettent des barrages dans la voie de notre connaissance dans notre propre expérience de la Vie de ces premiers Croyants, en tant que « Royaume de Prêtres. »
J’ai besoin de souligner à nouveau, encore et encore, un point qui va entraîner certains à crier « Alléluia » qui ne savaient même pas que ce mot était dans leur vocabulaire ; et causer d’autres à grogner et à échouer un test de pression artérielle. La plupart de la chrétienté d’aujourd’hui a été dépouillé par ces accessoires et a hérité des hiérarchies Catholique Romaine et, ne savent guère plus que quelques versets de la Bible et, comment être un public et faire quelques programmes et comités. Si le Créateur de toutes les galaxies était vraiment impliqué dans nos organisations, Il ne pourrait s’empêcher d’être beaucoup plus évident, réel que cela.
Alors que les « accessoires » mentionnés ci-dessus peuvent sembler inoffensifs, essayez d’imaginer ce que votre église serait sans aucun d’eux. Quand vous vous imaginez là où vous êtes, est-ce que vous termineriez à avoir la Puissance de l’Église du Livre des Actes (ils n’avaient rien de ces choses) - ou est-ce que vous vous retrouveriez avec un désordre incohérent ? Si vous deviez supprimer tous ces accessoires, y aurait-il quoi que ce soit qui resterait dans votre église ? Si votre église ne pouvait pas être soutenue et même croitre dans l’Unité et la Puissance de Dieu sans les accessoires des programmes, des bâtiments, des hommes salariés, des Commissions et des réunions régulières avec la chorégraphie pré-arrangée, alors c’est construit sur la mauvaise Fondation. Alors que les systèmes et la hiérarchie et la forme sont étrangers à l’église de la Bible (même si elle grandit à 15 000 membres dans une église !), c’est le concept que pratiquement tous les incroyants et, tragiquement, la grande majorité des Croyants, ont du Christianismes du 20ème Siècle. Frères, il ne devrait pas en être ainsi !
En vérité, la plupart des choses auxquelles nous nous accrochons est seulement nécessaire en raison de l’absence de relation avec Lui, la Réalité, le « soma, » de tout ce que Dieu a jamais voulu faire en vous, et dans Son Église (Heb 8:1 - 10:25 ; Col 2:16-17). Lorsque nous Le connaissons vraiment, notre sécurité et notre direction (minute par minute) est relationnelle, plutôt que conceptuelle. Les annales de l’action de l’Église puissamment aidée par l’Esprit que nous appelons « le Livre des Actes, « ont été écrites pour, et à (Actes 1:1) Théo-Phile - « Amoureux de Dieu, » non pas Théo-Logians. Les annales de Son fonctionnement Glorieux parmi les hommes simples n’ont pas été écrites pour, ou destinées à, les Théo-Logians (les amoureux de la logique au sujet de Dieu). Vous avez besoin de réfléchir à ça. Pour être vraiment libre, votre vie en Christ, votre Christianisme, doit être relationnelle - une histoire d’amour, non pas conceptuelle.
Voilà ce qui nous dirige vers la solution, n’est-ce pas ! Ce n’est pas que nous avons maintenant à adhérer à une nouvelle doctrine de « pas de rituel » (même si le rituel doit être détruit afin d’apprendre à faire confiance à Dieu et à fonctionner sous la Souveraineté actuelle du Seigneur de l’Église). Plutôt, nous avons désespérément besoin d’être guéris de la vacuité de notre idolâtrie du 20ème siècle, de courir après la carrière, des maisons de banlieue, des caisses pour la retraites complémentaires, le statut social, les diplômes d’études collégiales, la paresse, la télévision et le vain (ou méchant) « divertissement » pour notre chair, le désir de l’information, l’envie du confort, et d’innombrables autres idoles dans nos vies. Alors seulement pourrons-nous voir le monde et l’Eglise « non plus selon la chair » - quand les idoles, qui nous aveuglent à la Vérité, sont démolies (Ez. 14:3 ). Seulement alors, pourrons-nous profiter de Jésus et la Vie pleine de Gloire qu’Il a lancée et laissée pour nous ! ( Héb 3:01 , 12:1-2 ; Jn 17:5 , 22 ; Luc 12:32. ; Mat 16:19. , 13:43 , 13:52 ).
Voilà ce qui contraste avec ce que Jésus a laissé pour ceux qui marchent dans la « forme », plutôt que dans Lui : Matthieu 21:43 , 23:13 , 23:38 . Pas bon.
Puis-je terminer par une section d’une autre écriture ? Cela a été bref, et ne se veut qu’un stimulant pour la prière et l’examen. N’oubliez pas, si vous réagissez à cela avec une mentalité de « nouveau concept, » « la dernière condition sera pire que la première. » Seulement lorsque nous nous retrouverons à l’étroit dans nos vêtements d’enfants, trouverons-nous la Volonté de Dieu. Sinon, si nous nous contentons de maudire et d’enlever les vêtements de l’enfant, nous aurons seulement un enfant nu, vulnérable. L’homme paralysé a un besoin désespéré d’un fauteuil roulant, la rampe d’accès, les places de stationnement spéciales, et les salles de bains particulières. Comment bien mieux, même, de guérir l’homme - que de simplement améliorer les dispositifs de haute technologie (programmes, les trucs, les hiérarchies) qui génèrent une liberté et une vie simulée ?!
Moïse a inauguré une ère de lieux, de choses, de temps et de forme, « en raison de la dureté de nos cœurs…mais depuis le début ce n’était pas ainsi ! » Appelons « un chat un chat » - et allons de l’avant !
Il y a de L’ESPOIR !
A quoi le Royaume de Dieu ressemble-t-il vraiment ? A quoi ressemblerait une église aujourd’hui marchant dans la Présence de Dieu et pleine de Grâce ? Comment puis-je reconnaître l’Esprit de Christ, et Son meilleur Chemin pour Son peuple et pour moi ?
L’Epouse de Jésus, Son Eglise. Elle est une Dame spéciale, une « Jeune Mariée PREPAREE pour le retour de l’Epoux, » le Roi de Gloire. Elle est « une église glorieuse, sans tache ni ride ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. » Elle est un joug égale pour Jésus - remplie de compassion, mais remplie de fureur envers l’hypocrisie ; sensible, mais poursuivant sans relâche l’achèvement des affaires de Son Père. Voila l’église que Jésus a achetée avec Son Sang…
Elle va être une église qui n’est pas liée par le temps et le lieu, mais « tous les jours en publique et de maison en maison. » Elle va être « jointe et lié ensemble par tous les ligaments de soutien, » chacun membres des uns des autres, » « confessant les péchés à l’un l’autre, » « exhortant l’un l’autre au quotidien de telle sorte, qu’aucun ne s’endurcisse par la séduction du péché, » toujours aimant et servant et, « portant les fardeaux des uns des autres » dans la joie et le remerciement. Et quelques larmes. Ses réunions collectives ne seront que le débordement de ce qui se passe dans les rues et dans les maisons de tous ses habitants. « Maintenant la multitude de ceux qui crurent n’était qu’un seul cœur et qu’une seule âme ; personne ne disait que les choses qu’il possédait était à lui. »
L’église sera caractérisée par la « méga puissance » et la « méga grâce. » Le péché sera exposé et éradiqué avec une « Gloire croissante » dans la vie de ceux dans l’église. Les captifs seront, enfin, LIBRES. Le chant des chansons à notre Dieu ne sera pas écrit dans un menu imprimé une semaine à l’avance, mais s’écoulera de ce que Dieu fait au milieu de nous pour le moment. Faites attention ! Ces Saints remplis de joie et de foi pourraient même dégénérer en chanson dans le stationnement du Burger King, alors que l’église descend au restaurant pour un repas. Ce qui est réel en un endroit doit sûrement être vrai partout ! (Ce Vin Nouveau, cette Eau Vive a des effets étranges, vous savez. C’est juste Biblique, normal, rempli du Christianisme de Jésus !)
Ensemble, avec l’intimité des relations, nous VIVRONS comme notre Seigneur a vécu. Jésus, le Christ de Dieu, vit maintenant en nous, individuellement et en tant que Peuple (Col. 1:26-27 , 3:4 ; Ga 2:20 ; Actes 17:28 ; Ep 5:18. ; 1Jn 2. : 6 ; Rom 8:9).
Ce passage est le modèle Eternel de l’Église que Jésus a établie, et il est pour toutes les générations qui veulent marcher avec Lui, par Son Esprit :
« L’Esprit du Seigneur Dieu est sur Moi, parce que le Seigneur M’a oint pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres ; Il M’a envoyé pour guérir le cœur brisé, pour proclamer aux captifs la liberté, et l’ouverture de la prison pour ceux qui sont liés ; pour proclamer l’année de grâce du Seigneur, et le jour de vengeance de notre Dieu ; pour consoler tous les affligés, pour consoler ceux qui pleurent dans Sion, pour leur donner la beauté au lieu de la cendre, une huile de joie au lieu du deuil, le vêtement de la louange pour l’esprit de lourdeur ; qu’ils puissent être appelés les térébinthes de la justice, la plantation de l’Eternel, pour qu’Il soit glorifié.
« Et ils rebâtiront les ruines, ils relèveront les anciennes désolations, et ils restaureront les villes en ruines, les ruines de plusieurs générations.
« Vous serez appelés les Prêtres du Seigneur, les hommes vous appelleront les Serviteurs de notre Dieu » (Esaïe 61:1-7 , Luc 4:18-19 ).
Maintenant, la version de Dieu est meilleure que celle de l’homme, n’est ce pas ?! Et ces églises existent réellement ! Si vous souhaitez l’obtenir, rassurez-vous : « Nous devons traverser beaucoup de tribulations pour entrer dans le Royaume de Dieu. » Voulez-vous « aller de l’avant », peu importe ce que font les autres ? Voulez-vous payer ce prix ? Je sais que vous le ferez. Cela en vaut la peine.
« Or, à Celui qui est capable de faire infiniment au delà de tout ce que nous demandons ou pensons, selon la puissance qui agit en nous, à Lui soit la GLOIRE dans l’église par Jésus-Christ dans tous les siècles, un monde sans fin. Amen » (Ephésiens 3:20 ). AMEN ?
Épilogue
Cela a été l’espoir de tout cœur brisé, homme et femme aimant Dieu, qu’un bon sermon de plus, qu’un programme de plus, « nouveau et amélioré, » qu’une nouvelle église, ou des nouveaux anciens nouvellement installés guériraient les blessures et les déceptions de leurs églises. Sincères, craignant Dieu, des disciples de Jésus sont débordés dans leurs sentiments d’impuissance que le taux de divorce dans leurs églises est statistiquement égale à celle du monde, plutôt que non-existant, comme Dieu l’a chargé. Ils regardent avec horreur que plus de 60% de leur adolescents sont engagés dans le sexe avant le mariage à l’âge de 15 ans. En dépit de la preuve stupéfiante que ces églises institutionnelles et autres organisations para-ecclésiales ne vivent pas dans la plénitude de la Puissance et de l’Amour et de la Sainteté de notre Dieu, certains défendent encore sans relâche et avec passion, le statu quo. Les Motifs pour s’accrocher à des traditions incluent souvent la peur du rejet, la peur de l’échec, la peur de la perte d’emploi (pour les ecclésiastiques - généralement les adversaires principaux contre « quitter le rituel et la hiérarchie »), l’orgueil, ou le patrimoine familial. Surveillez ces motifs cachés dans ceux qui sont irrités par quelques-unes des pensées proposées ici. Si vous éclatez la bulle de la complaisance et de l’hypnose religieuse, vous rencontrerez sûrement une telle opposition, comme Jésus l’a expérimentée ! Attendez-vous à cela, répondez avec sagesse et amour. Mais les jours de faire semblant sont passés. Nous devons aller de l’avant avec notre Dieu en tout ce qu’Il a prévu pour nous !
Le prophète Esaïe a déclaré que la Parole de Dieu ne « reviendrait pas vide. » Jésus élabora davantage et avec des implications puissantes. Notre Seigneur nous a enseigné qu’il y avait encore UNE chose qui pourrait rendre nulle et non avenue la Parole de Dieu dans votre vie :
« Ainsi, vous annulez la Parole de Dieu par votre tradition que vous avez prononcée. Et vous faites beaucoup de choses comme ça. » (Mark 7:13 )
Et enfin…
« Même si on parle comme cela, chers amis, nous sommes confiants de meilleures choses dans votre cas - des choses qui accompagnent le salut. Dieu n’est pas injuste ; Il n’oubliera pas votre travail et amour que vous Lui avez montré alors que vous avez aidé Son peuple et continue à les aider. Nous voulons que chacun de vous montre cette même diligence jusqu’à la fin, afin de rendre votre espérance certaine. Nous ne voulons pas que vous deveniez paresseux, mais d’imiter ceux qui, par la foi et la persévérance, héritent ce qui a été promis ! » (Hébreux 6:9-12 )
Un Monde Sans Villes
(Une allégorie)
Imaginez un instant que les villes n’existent pas. Des siècles dans le futur, le monde est tel que personne dans la population n’a jamais connu personnellement ou expérimenté ce qu’était la vie dans une petite ville. La vie est devenue impersonnelle, et institutionnelle.
Dans cette génération, les récits historiques de ce qu’étaient les villes, lorsque les hommes étaient des hommes, et les personnes et les familles étaient plus que des unités administratives, sont tout ce qui reste.
Arrêtez-vous et imaginez avec moi pour un instant, comment ce serait de vivre dans ce monde sans villes.
Supposons maintenant qu’un groupe de personnes dans cette génération décide de changer les choses et, de rendre les choses comme elles étaient. Ils décident de « restaurer la ville » et de rétablir la « ville » comme unité de fonctionnement de la vie communautaire. Elle serait appelée « Anytown : n’importe quelle ville. » Cela doit être juste comme les villes étaient. La première priorité, naturellement, était d’aller aux archives et d’étudier et d’étudier et d’étudier pour apprendre tout ce qu’ils pouvaient sur les villes.
Basés sur leur recherche, ils s’engagèrent ensemble pour restaurer « la vie en ville » dans leur génération. Ensemble, ils construisirent une ville de fortune avec du carton et des bouts de bois, avec une épicerie, un restaurant, un hôtel, des maisons, une banque, une école, un magasin général, et même un poste de police.
Ces hommes et femmes dévoués se consacrèrent à la tâche pour restaurer la vraie « vie en ville » pour un monde sans ville et perdu. Ils décidèrent que pour une heure chaque jour, ils pratiqueraient « la vie en ville. » L’homme qui jouerait à l’épicier (il avait été choisi pour être l’épicier, mais ce n’était pas ce qu’il était vraiment au fond) déterra quelques légumes pour son petit magasin. Le banquier (sa maman et son papa avait toujours pensé qu’il aurait beaucoup d’argent un jour) lui donna quelques dollars pour sa banque. Et l’enseignant (il avait toujours voulu l’être devant des foules et d’être regardé comme tel) obtint quelques livres, et quelques enfants sans méfiance, pour son école.
Le policier, en rétablissant son office « selon les règles », avait un peu plus de difficultés (les figures d’autorité ont toujours à s’étirer un peu plus dans les villes en carton). Comme les villes, les fusils aussi n’existaient plus. Mais ce n’était pas grave. Où il y a un peu d’ingéniosité du 22 siècle, il y a un moyen. Il fit quelques recherches dans la langue originale et trouva un moyen de sortir de l’impasse. Il trouva un livre poussiéreux, qui témoignait du fait que dans la Grande-Bretagne dans les années 1980, des policiers (connus sous le nom de Bobbies) n’utilisaient pas d’armes ; ils utilisaient des matraques. Dans ce contexte, il était clair (pour lui) que les policiers avaient nécessité d’armes au cours des siècles plus tôt pour s’établir en tant que figures d’autorité. Après cela, il décida de décider, que la société avait « avancé » de telle sorte, qu’ils n’avaient plus besoin d’armes pour « confirmer » leur autorité. Les autres pays dans les années 1980 qui utilisaient toujours des armes étaient évidemment, par conséquent, des pays arriérés et non civilisés. Dans le contexte. Ainsi le dilemme était résolu. L’arme était culturel, un expédient. Il pouvait faire ce qui était le plus pratique pour sa situation.
Comme avantage supplémentaire, il pouvait aussi désormais mettre en place des séminaires et des réunions pour des futurs policiers, puisque toutes ses études de l’original lui avaient donné le statut d’un érudit.
Et ainsi, des foules d’hommes et de femmes sincères, de plus en plus nombreuses allèrent tous les jours, religieusement, dans leur ville en carton et pratiquèrent la « vie de la ville. » Comme les citadins achetaient des concombres et de la laitue à l’épicier, l’épicier courait à la banque avec le produit de ses ventes. Le policier montait ensuite la garde pour prévenir l’épicier d’être volé. L’instituteur était occupé à enseigner, bien sûr. Pour au moins l’heure que la ville était en session, chaque jour, chacun essayait (dans les limites de la raison) d’utiliser le vocabulaire du siècle des « jours de ville. » Et exécutait son emploi de ville assez bien.
Tout cela s’avéra être de plus en plus un bon passe-temps populaire pour les gens. Certes, il y avait des difficultés à l’occasion, mais c’était à prévoir. Certains pouvaient dire que toutes les villes de carton « nouvelles et améliorées » qui avaient surgies, venaient des divisions ou de l’ambition. La plupart se sentaient à l’aise avec l’idée de « recherche de la vérité, » « la croissance » et « planter des villes. »
Un jour, un homme du passé, d’une vraie ville, se présenta. Il regarda les hommes dans cette ville d’accessoires qui réalisaient avec diligence leurs affaires. Avec grand sérieux, ils se précipitaient ici et là, comme si tout dépendait de l’issue de leurs conversations et de toutes leurs transaction d’affaires. Après tout, cette question de restaurer cette « vie de ville » est des plus graves. L’homme du passé avait le cœur brisé, confus, amusé, et en colère tout à la fois. Qu’est-ce qu’était tout cela ? Restauration de la « vie de ville » - ça ?
Il était si anxieux et si excité de leur apprendre, qu’il y avait tellement plus à la vie de ville, que l’étayage extérieur pour que cela ressemble à une ville ! Tous les livres qu’ils avaient lus sur son époque avaient seulement servi à fournir un substitut qui semblait s’adapter à toutes les catégories de la « vie en ville, » élément par élément…mais sans la Vie derrière eux.
Ce nouveau venu dans la « ville » était tout simplement trop critique pour convenir aux « habitants de la ville. » Les choses étaient assez confortables. Genre famille. « Bien sûr, il y avait quelques problèmes, mais ne pouvait-il simplement pas travailler au sein du système afin d’aider, au lieu d’être jugé ‘plus saint que nous’ ? », se disaient-ils entre eux à voix basse, alors qu’ils passaient dans les rues. « Nous savons pertinemment que nous sommes vraiment une ville. » Ils avaient toutes les preuves dont ils avaient besoin !
« Y a-t-il quelque chose de mal avec les banques ayant de l’argent ? », objectèrent-ils.
« N’y a t-il pas de vrais légumes dans l’épicerie ? », demandaient-ils.
« N’y a t-il pas de vrais livres à l’école ? »
(Comme ils envisageaient le résultat du défi du nouvel arrivant, s’il n’était pas réduit au silence, leurs questions augmentèrent plus intensément.)
« Essaye de prendre un peu d’argent de la banque et regarde si la matraque du policier est fausse ! », disaient-ils en se moquant.
« Écoute, mon petit gars, » certains dirent : « Si tu n’aimes pas la façon dont nous construisons, il suffit de commencer toi-même un édifice, ici-même. Faits une caserne de pompiers, si tu le souhaites. Tu sais où est le carton. Au lieu de tant critiquer, pourquoi ne pas construire avec nous ? Es-tu mieux que tout le monde ? »
Inutile de dire que l’étranger s’en alla attristé et confus. Et les « citadins » continuèrent fidèlement à « aller en ville » chaque jour, à chaque rendez-vous nommé, à chaque occasion, chaque fois que les portes étaient ouvertes. Fidèles jusqu’à la mort. Décemment, et dans l’ordre.
Vous voyez, le manteau de la peur, et de la fierté, ne leur ont jamais permis de voir la différence entre « aller en ville »…et d’être une ville.
Puissent les hommes dans cette ville nous enseigner à ne pas confondre la réalité avec la connaissance historique. Puissions-nous être déterminés à ne pas nous contenter de moins que la pleine expression, à l’intérieur et à l’extérieur - et jamais simplement une simulation précise et bien huilée d’un modèle réduit. Le travail détaillé des scolaires des accessoires ne fait pas une ville, ou une église. Pas plus que de parler dans le jargon de la vie de ville, ou d’étudier les villes, ne se compare à l’expérience et aux joies et aux avantages de la vie de ville. Ou la Vie dans le Royaume de Dieu. Les avantages et la puissance de la vraie Vie ne vont jamais exister aussi longtemps que notre ville ou nos églises, restent des accessoires détaillées high-tech. Ne vous contentez pas de marcher à travers le musée de cire. Marchez dans la substance de cette Vie avec tout votre cœur ! Ne soyez pas satisfaits avec des « explications logiques, » ou de vous sentir coupables d’être patients pendant encore dix générations ou plus. Les discours d’un orateur puissant derrière la chaire ne sont pas un substitut à une véritable expression du Cœur de Dieu pour Son Peuple en ce jour (Eph. 3:10…« maintenant »). Que Dieu nous bénisse et nous aide tous alors que nous cherchons à être Son Peuple, une Mariée qui « s’est préparée pour le retour de l’Epoux, » notre Seigneur Glorieux, Jésus-Christ. Louons Son Nom !