Le Virus de 1918, aujourd'hui et demain
Un tiers de la population mondiale a été infecté, souvent mortellement, par un vi-rus en 1917 et 1918. Cette pandémie a fait plus de victimes que toutes les batailles de la Première Guerre mondiale, qui venait de prendre fin. Mais il existe un virus bien plus mortel, et vous aussi, vous êtes soumis à ses symptômes ravageurs. Al-lez-vous tendre vers le remède ?
22/11/1999
Samedi matin, 21 mars 2020
Le Virus de 2020 nous rappelle durement que les « humains intelligents » ou les « humains riches et puissants » ne contrôlent pas vraiment grand-chose. Cela a toujours été vrai, mais il est plus facile de se souvenir maintenant que nos meilleurs plans et rêves aboutissent à l’âge de pierre en quelques jours seulement. Cela s’est passé comme ça, et il est ridicule de douter de nouveau de cette réalité de son vivant.
Alors, qu’est-ce qu’une meilleure perspective, plus durable et plus précise du monde réel, dans les bons comme dans les mauvais moments ? Apparemment, beaucoup se sont trompés lorsqu’ils étaient sûrs de détenir les clés.
Ce qui se passe en ce moment est une bonne aide visuelle pour les vrais chrétiens ou pour TOUTE personne qui cherche Jésus. Il montre la nécessité de se détacher socialement de l’humour douteux et des choix mondains compromettants, si l’on veut être spirituellement sain, plutôt que malade et inutile. Je pourrais dire : « Eh bien, il suffit de prier et de lire davantage votre Bible. Tant que vous faites une journée de travail honnête, et que vous ne mentez pas, ne volez pas et ne maudissez pas - alors vous glorifiez Dieu, alors tout va bien ». Mais, vous devez sûrement savoir par expérience que ce serait une réponse superficielle, religieuse et infructueuse - même s’il peut y avoir une part de vérité dans tout cela. D’une certaine manière, cela ne va pas à la racine du problème, n’est-ce pas ?
Voici une discussion de 1999 sur la manière de voir correctement le monde dans lequel nous vivons, afin de pouvoir vivre pour Jésus.
C’est la question récemment posée durant un moment spontané avec les Saints en Caroline du Sud. Elle venait d’un businessman ayant de sérieuses « responsabilités » internationales. Vous reconnaîtrez cette question, car je pense que nous l’avons tous posée…
« Comment puis-je rester concentré au milieu de ma vie agitée ou bousculée de tous les jours au travail ? J’ai apparemment beaucoup de fuites d’énergie et de distractions. Je sais qu’il n’est pas correct de dépenser tant d’énergie pour mon travail et mes responsabilités et si peu pour ce qui a de la valeur pour Jésus. Je sais que je fais quelque chose de mauvais (ou qui cloche), si mon énergie est totalement utilisée pour des choses temporaires, et tout ce que je veux, lorsque je rentre à la maison tard dans la soirée, c’est m’écrouler sur mon lit. Il y a sûrement quelque chose à changer radicalement dans la manière dont je fonctionne. Je veux réellement changer. Que je devrais-je faire différemment ? »
Il y a beaucoup de manières de répondre à une question comme celle là, je suppose. Je pourrais te dire quelque chose qui justifierait le péché d’être déconnecté du Père, tel que : « Oh, ne t’inquiète pas. Si tu fais du bon travail, si tu ne mens pas ou ne voles pas ou ne maudis pas—alors tu glorifies Dieu en faisant du bon travail, donc tout est bien. Donc, ne t’inquiète pas. Fais juste une bonne et honnête journée de travail et cela sera ‘ton ministère’ ». Je pourrais dire cela et cette pensée est tellement courante, qu’elle y parait honorable, mais s’établir sur ce genre de raisonnement rendrait Dieu malade, donc je ne le ferais pas…
Je pourrais aussi te dire : « Eh bien, tu as juste besoin de prier plus et de lire ta Bible avant d’aller au travail. Ensuite tout sera bien. » Mais tu dois sûrement savoir, à partir de tes expériences, que cela serait une réponse superficielle, religieuse et infructueuse—MÊME S’il y a certainement de la vérité dans celle-ci. D’une façon ou d’une autre, cela ne va pas à la racine du problème, n’est-ce pas ?
Puis-je vous donner un exemple dont je viens de me rappeler, qui pourrait clarifier la racine du problème auquel toi et beaucoup d’autres êtes confrontés et qui indiquerait la Juste direction ? C’est parti !
Une Histoire Peu Connue
En 1918, une épidémie mortelle de grippe balaya la planète. Les soldats revenant de la Première guerre mondiale, apportèrent avec eux le virus de la grippe. On présume que cela avait commencé à Kansas, à cause de fumier enflammé. Apparemment, cela se répandit en Europe et revint, via les soldats qui partaient et revenaient. En moins de deux ans, 30 millions de gens moururent, dont plus de 600.000 aux Etats Unis. Cette étrange grippe infecta plus de la moitié de la planète. Etrangement, la plupart des victimes étaient actives, des adolescents sains et des adultes jeunes, souvent dans leur vingtaine année (bien que des millions d’enfants et d’adultes plus âgés en soient morts aussi). Au matin une personne pouvait avoir un peu de toux et de fièvre. L’après-midi venue, elle était clouée au lit. Dans la soirée ou le déjeuner de la prochaine journée, pratiquement tous ceux qui avaient inhalé le virus se noyèrent à cause du sinistre liquide bleu dans leurs poumons. Les provisions de cercueils étaient gardées par des gardiens armés, des étiquettes aux orteils étaient placées sur les personnes infectées qui rentraient dans les hôpitaux (si elles ne mouraient pas avant), des charrettes parcouraient les rues, ramassant les corps devant les porches et les trottoirs des cités et des villes ; et des tombes en masse furent creusées avec des équipements de construction. C’est seulement l’histoire de l’expérience des Etats-Unis avec cette maladie mystérieuse, incurable. Ce virus mutant ravagea le monde avec furie et avec un appétit insatiable pour la vie humaine—particulièrement les forts et robustes de chaque nation. Son origine était inconnue, sa cure jamais trouvée, et son retour ne peut toujours pas être exclu ou écarté. Finalement, le virus disparut, non parce que l’homme avait trouvé un antidote ou même ralenti son avance. Le virus s’est endormi uniquement parce qu’il avait commencé à manquer de nourriture. Il avait ravi chaque être humain sur la planète qui ne possédait pas l’immunité mystérieuse nécessaire pour échapper à l’emprise de la mort. Le virus n’était pas guéri. Il tua chaque personne qu’il pouvait tuer, et tout simplement vint à manquer de combustible humain sur la planète. Il s’affama lui-même en rémission.
Pourquoi Tant De Gens Ont-ils Perdu La Vie ?
Maintenant ceci est une très importante question. Pourquoi tant de gens permirent à ce virus de se disperser pour infecter leurs familles et leurs amis, alors que ses effets étaient à l’évidence si mortels ? Cela nous guidera vers la réponse de ta question très sérieuse, importante—et courante. Comment pouvons-nous rester proche de Jésus dans un monde vivant sur l’adrénaline de la cupidité, de la peur, du désir, de l’ambition, de la culpabilité et de l’orgueil ? C’est au sujet du Virus. Restez avec moi. Il y avait trois raisons primordiales pour lesquelles il y avait une telle large route menant à la mort, et où un grand nombre de personnes était sur cette route.
LE DENI OU LE DÉMENTI
Beaucoup de ce qui a conduit à des millions de morts durant l’épidémie du virus de 1918…était dû au déni. Personne ne voulait croire que quelque chose n’allait pas bien. Les gens vivaient dans un âge de prospérité et prenaient plaisir aux fruits des nouvelles technologies du transport aérien et de beaucoup d’autres percées. Le courrier pouvait être délivré de New York à Chicago en seulement dix heures ! Les temps étaient bons et personne ne voulait penser aux « mauvaises » choses. Le déni est une réponse courante dans la race humaine, lorsque la tragédie est proche. C’est dans la nature humaine déchue « d’éviter toutes les confrontations à tout prix » et de fermer les yeux et d’espérer que tous les problèmes s’en aillent. Nous désirons profondément faire des excuses pour nos échecs et celles des autres, et imaginer que tout n’est pas si mal que cela. A peine quelques années plus tard, lorsque Hitler commença son massacre, les leaders d’Occident essayèrent de « s’illusionner en se disant que tout n’est pas si mauvais que ça »…jusqu’à qu’il ne soit trop, trop tard et incroyablement horrible, et que personne ne puisse nier que des choses étaient en place. Lorsque le temps est venu de faire face, la lâcheté et la dépendance au statu quo ont fait des traités avec l’animal qui était en train de tuer des innocents. C’était exactement la même situation vingt ans auparavant, lorsque l’humanité était exposée à ce virus mortel. Et ce n’est pas différent aujourd’hui. En général, nous préférons nier les questions douloureuses de la vie, « n’écoutez rien de mal, ne voyez aucun mal, ne dites aucun mal », plutôt que de faire face. Un tel démenti permit au virus de 1918 de tuer des millions et des millions de gens supplémentaires, qui auraient pu vivre, si cela avait été géré honnêtement durant les toutes premières phases. Déni. Même les leaders à chaque niveau, afin de garder le calme parmi les populations, démentirent que LEUR juridiction avait un problème. Jusqu’à ce qu’il ne soit trop tard pour démentir plus longtemps et que les orphelins ne remplissent les ruelles de la vie.
UN MANQUE DE COMPRÉHENSION
Une autre facette de l’équation qui conduisit à la mort de millions de personnes—un énorme pourcentage de la race humaine—en quelques 18 mois, est tout simplement un manque certain de compréhension. En général, les gens n’avaient aucune idée du problème, ou des solutions possibles. Les photos et les films pris à cette époque montrent des enfants portant des petits masques à gaz lorsqu’ils jouaient dehors, en faisant rouler des roues avec des bâtons. Les policiers et les ouvriers d’usines, au pic de l’épidémie, prirent finalement l’initiative radicale de porter des masques en coton et des foulards pour se couvrir le visage. La plupart d’entre eux étaient convaincus que c’était une « mesure extrême » pour stopper la diffusion de la maladie, et ils étaient contents de leurs efforts. Ils avaient tort. Les masques sont futiles pour stopper la propagation d’un virus. Il n’y avait vraiment là aucune protection. C’était seulement valable pour évacuer leurs peurs mais ce n’était pas une réelle solution. La grippe ne pouvait être vue qu’avec un microscope électronique, qui ne sera inventé que plusieurs années plus tard. Les masques n’étaient donc pas plus efficaces pour épurer les germes « que d’attraper la poussière avec un grillage ». Les gens se mettaient des sacs de camphre autour du cou et buvaient du sucre et de la térébenthine comme « remèdes » faits maison. Les orateurs religieux firent une fortune aussi bien en argent qu’en popularité par leurs appels dramatiques et prophétiques de fin du monde. La religion superstitieuse ou l’activité médicale était la réponse la plus commune de ceux qui étaient mêmes volontaires pour considérer les périls de leurs jours. Les dangers de la maladie invisible étaient bien au-delà de leur compréhension, et les mesures prises contre elle étaient un peu plus que des placebos. Les faits et l’histoire le démontrent.
DES PRIORITÉS DÉPLACÉES
Pourtant, un autre facteur énorme dans la diffusion de cette épidémie fatale était lié aux priorités déplacées de beaucoup de gens. Les parents continuaient d’envoyer leurs enfants à l’école, aux fêtes et jeux de ballon—vers les foules grouillant d’infection. « L’éducation est importante », tel était le raisonnement. « La récréation et une vie sociale sont essentielles aux bienfaits des jeunes. Nous ne voulons pas qu’ils soient privés de la vie. Tout ira très bien. J’aime trop mon enfant pour le priver de ces expériences et des amusements de la vie ». Est-ce que cela vous est familier ? Toutefois, où est le bien de l’éducation et des événements sociaux quand un enfant meurt d’une mort hideuse et épouvantable ? Et des milliers moururent, dans de grandes douleurs, en crachant du sang. Tous, en moins de 36 heures, devinrent malades d’une maladie invisible et infernale, portée par leurs amis infectés. Les fausses priorités les ont exposés à un invisible danger auquel ils n’auraient pas dû avoir à faire face.
La Peste est Réelle, et c’est MAINTENANT !
Le point ? Rappelez-vous de notre question : « Comment rester près de Jésus lorsque mon travail est si exigeant dans cet ère de high-tech et d’information ? Comment puis-je être au top de ma profession et toujours avoir assez d’énergie pour bien servir Dieu, à la fin de la journée ? »
Cette épidémie de grippe mortelle est véritablement une image de la manière dont DIEU regarde notre planète et ses précieux habitants. Il y a une autre épidémie, encore plus mortelle et invisible, qui se propage MAINTENANT. Celle-ci, en fait, tue 100% de ceux qu’elle touche et qui n’ont pas le remède. L’épidémie du péché a infecté chaque membre de la race humaine. Cette contagion sature absolument notre environnement dans ce monde. Et bien que Jésus ait payé le plus haut prix inimaginable pour nous libérer de cette épidémie fatale, pour nous délivrer de ce virus de péché, bien peu reçoivent Son remède. « Rares seront ceux qui le trouveront » selon Jésus Lui-même. IL a indiqué les chances. Il a dit que la PLUPART périront. La plupart choisiront de mourir, en crachant du sang et seront ensevelis dans des tombes où « le feu ne s’éteint jamais ».
Voyez-vous ce monde avec clarté ? Êtes-vous volontaire pour croire Jésus lorsqu’Il dit qu’il y a un domaine invisible ? Acceptez-vous Son diagnostic que le péché a condamné les hommes et les femmes à la destruction ? Réalisez-vous ce qui est vraiment en jeu dans nos présentes vies journalières ? Croyez-vous en un virus que vous ne pouvez pas voir avec vos yeux physiques ?
LE DENI
La plupart des gens, à travers l’histoire, vivent malheureusement dans le déni. Cela me frappe toujours, que Jésus a parlé plus de la mort affreuse du Virus, de l’enfer, que tous les prophètes et apôtres mis ensemble. Personne n’aurait mieux compris que Lui, notre Créateur et Messie. Et Il était incroyablement sérieux, durant cette période courte ici bas, afin de nous faire connaître la très réelle existence d’un diable très réel (avec une armée de démons) et d’un enfer très réel. Il a beaucoup fait pour nous dire comment conquérir ces ennemis, pour équiper les Apôtres et pour donner à Son Peuple une Arme, Son Eglise, contre laquelle les portes de l’enfer ne pourront pas dominer. Et cependant, l’homme vit dans un déni total et révise (ou modifie) Ses objectifs. Aujourd’hui il s’agit dans le Christianisme et l’Eglise en premier lieu : d’aller aux Cieux, d’avoir des relations aimables et bienveillantes deux fois par semaine et chaque semaine, de rester en dehors de tous problèmes et d’étudier la Bible, essentiellement comme fin en elle-même (même si on ne le dit pas).
La vraie chose que Jésus apporta sur terre : « Détruire le travail de satan ». Et cela implique ou engage du courage et de la peine. Cela arrive « avec beaucoup de tribulations ». Si nous ne voulons pas faire face à ce que dit Jésus sur la vie et la mort et la Vie, alors nous allons prendre des mauvaises décisions, comme nos amis en 1918. Nous ne pouvons éviter le conflit, faire des changements et des sacrifices de nous-mêmes—et cependant échapper à l’épidémie. Au lieu de faire face au problème, nous aurons l’angoisse de voir beaucoup de gens que nous aimons « tomber amoureux du monde, et donc, devenir des ennemis de Dieu ». Si nous faisons défaut à nos frères et nos parents et nos amis, en laissant aveuglement les mauvaises herbes « des soucis et des inquiétudes de ce monde, ainsi que la fausseté du matérialisme » les tuer, nous sommes dans le déni des réalités dont parlait Jésus.
Le Maître a dit que BEAUCOUP diront : « Seigneur, Seigneur » et feront du bon travail à la mode Chrétienne et seront toujours sur le chemin large de la destruction. Pourquoi ? Parce qu’ils « n’ont pas FAIT la Volonté de Mon Père ». Ils connaissaient des choses, étaient assez religieux, mais maintenaient le contrôle sur leurs propres vies. Et notez bien ceci : Même si une personne est quelque peu intéressée d’aller avec Jésus jusqu’au bout, elle deviendra « endurcie et séduite par le péché » (Heb 3 :12-14) à cause de pauvres méthodes de construction journalières. Si le monde des dénominations et des églises de maison ne s’y met pas pour gérer les vies des êtres humains une par une, pour Jésus (comme l’Ecriture mentionnée ci-dessus), le massacre continuera. Cela ne demande pas un doctorat de statisticien pour observer ces groupes (que ce soit dans des installations religieuses ou dans des maisons) pour démontrer que le problème est très sérieux. Les chants et les applaudissements et les programmes créatifs et les « écoles de dimanche » et les « groupes de jeunes » et les « conseils de mariage » et les nouveaux édifices, ou les nouvelles moquettes et une nouvelle guitare dans la salle de séjour… ne résoudront pas le dilemme du Virus, qui est en train de détruire les vies. Cela prendra une implication personnelle, quotidienne, d’un « Royaume de Prêtres » qui représente Jésus et Sa Parole personnellement à l’un l’autre et à autour d’eux, « comme si Dieu faisait Son Appel à travers vous ». « Dans la course TOUS les coureurs courent ». Pas de spectateurs ou de meneurs. Ceci vous demandera du courage, à dix-sept heures du soir. Il va falloir regarder le Virus pour ce qu’il est, se lever pour accomplir l’appel « de se prévenir mutuellement chaque jour, pour que PERSONNE ne s’endurcisse et ne soit séduit » ! « Frères, veillez à cela ! »
Eviter les conflits peut rembourrer les poches et l’ego et remplir les bancs d’église, ainsi que pour donner le sentiment de contentement et d’être sauvés à ceux qui ne sont pas sauvés, mais cela ne nous délivrera pas du Virus. L’Enseignement de Jésus, le Maître, et des Apôtres est très clair. Il est aussi très différent de 50% de ce qui est enseigné aujourd’hui—et de 98% de ce qui est pratiqué dans la Chrétienté aujourd’hui. Nous avons réellement besoin de comprendre ce que sont un Chrétien, l’Eglise et un leader du point de vue de Dieu. Ou bien, nous ressentirons la destruction « dans chaque maison, » de la même manière que nos parents en 1918 la ressentirent. Un manque de Compréhension et un manque de Vision (Révélation) occasionnent la mort du Peuple de Dieu, selon les Ecritures. Des morts inutiles de multitudes de jeunes, de mariages, et de pratiquants qui n’ont jamais donnés leurs vies à Jésus sont en train de se produire à un taux effrayant dans la Chrétienté. Ce n’est PAS ce que Jésus a dit, lorsqu’IL Il a promis que Son Eglise ne sera pas dominée par les portes de l’enfer.
Est-ce que ceci vous coûtera ? Comme Jésus a dit : « appréciez le coût » de construire à Sa Manière. Evidemment, toute direction autre que les moules actuels de la religion approuvée par l’état, rencontrera de l’opposition—essentiellement par de braves gens religieux tièdes, qui aiment le monde et leurs péchés. Jésus a dit qu’il en serait ainsi. Il a promis que personne ne sera assez bon, ou assez affectueux, ou assez sage pour ne pas être haï et calomnié, et en fin de compte, pour être victime d’un coup monté et finir tué d’une manière ou d’une autre. Il a promis que « personne n’est au-dessus de son Maître. S’ils Me l’ont fait, (et si vous Me représentez correctement), ils vous le FERONT aussi ». Echapper au conflit ne fait pas partie du Plan, pendant que le dragon cherche à tuer la Femme et son Nouveau-né. Si vous ne faites PAS face au coût du rejet, des mensonges high-tech, des calomnies et des menaces, alors, soyez inquiets. Jésus a dit qu’il en serait ainsi. SI nous Le représentons avec exactitude. C’est une question surnaturelle et inévitable pour les vrais disciples, selon Jésus.
DE LA COMPRÉHENSION
Jésus et les Apôtres voulaient désespérément nous donner de la Compréhension, pour que nous ne continuions pas aveuglement à ne pas croire dans ce qui est invisible—même avec un microscope électronique. Ils savaient que nous ne pourrions jamais échapper à la mort affreuse du virus, si nous continuons dans le déni et dans le manque de compréhension, avec toutes ces solutions placebos programmées, superstitieuses et religieuses. Si nous nous accrochons aux traditions et aux hiérarchies et aux répliques à effet des hommes, ainsi qu’à la pression exercée par l’entourage de la culture religieuse (« c’est la seule manière de le faire »)…nous continuerons à produire leurs résultats. « Les masques de coton » de groupes de cellules, programmés ou non, ne sauvent pas les hommes d’un virus microscopique. En clair, nous avons terriblement besoin d’un remède que les institutions religieuses ne pourront jamais pourvoir (ni « les églises » qui pomponnent la chair et qui font semblant…)
La Manière dont Jésus vivait et enseignait les Disciples à vivre et la manière qu’ensuite l’Eglise entière de plusieurs MILLIERS vivait (« TOUS » ! Actes 2 :42-47, et en bien d’autres endroits)…c’est le CHEMIN venant des Cieux qui non seulement nettoie le Virus, mais qui aussi inocule et nous protège des futures expositions ou de la mort ! Dieu nous a montré le Modèle pour Sa Maison, « le Pilier et la Fondation de la Vérité », l’Eglise qui « fait connaître la sagesse si diverse de Dieu, aux principautés et puissances » de l’enfer. Mais nous avons continué, génération après génération, de construire avec des mauvais matériaux, en utilisant des plans faits par l’homme, empruntés au système de ce monde.
La Parole et l’Esprit de Dieu « ne sont pas loin de vous » ! Nous pouvons corriger notre Trajectoire maintenant. Et je suis convaincu qu’il y a ce cri « L’Empereur n’a pas de vêtements ! », dans le monde entier, maintenant dans beaucoup de langues et de cultures. Beaucoup cherchent à comprendre comment CONSTRUIRE À LA MANIERE DE DIEU, pour que nous puissions voir les Résultats de Dieu : « Du plus petit au plus grand, ils LE connaissent TOUS » dans une « pâte sans levain ». Cela parait-il invraisemblable ? Ça l’est, de la manière dont les hommes construisent. Mais Il est venu pour nous faire comprendre. :)
DES PRIORITÉS : LES VOIR CORRECTEMENT
Donc, « Comment avoir de l’énergie après les journées de travail—ou après les enfants et l’école à la maison et les travaux ménagers ? Comment puis-je ‘rechercher en premier le Royaume’ quand ma vie est liée à un nœud gordien de carrière, d’obligations, de dettes, de hobbies et de relations ? »
Si nous voyons clairement la réalité, nous garderons sans doute nos priorités droites. Vous trouverez un moyen pour prendre les justes décisions concernant : quel travail accepter, où vivre, et mille autres sujets. Vous TROUVEREZ un moyen, SI vous Voyez la Vie clairement !
Si quelqu’un vous demandait d’empiler 25 pièces, en alternant les têtes et les queues, en ordre chronologique par l’année frappée sur elles, et en offrant de vous payer pour cela, vous le feriez peut être. MAIS si vous entendez votre fille de 9 ans, derrière la fenêtre hurlant de douleurs, je m’aventure à dire que vous oublierez l’empilement des pièces ! Cela ne sera plus important et vous ne direz pas : « Eh bien, laissez-moi juste terminer cette tâche en premier. J’ai pratiquement fini cet empilement de pièces. Je vais prendre soin d’elle dans une minute ». Quelle pensée ridicule ! Mais pourquoi est-ce ridicule ? Parce que vous connaissez la réalité de la vie et que vous n’aurez jamais vos priorités si désorientées !
Pour résoudre le problème de ne pas avoir assez d’énergie pour Jésus, devez-vous mettre votre réveil tôt le matin, pour pouvoir lire plus et prier ? Oh, je ne sais pas. Peut-être. Quoique ce ne soit pas le vrai problème. En tout cas, si vous ne le faites pas déjà abondamment, vous ne croyez pas beaucoup au Virus ! Vous n’êtes pas en train de voir le monde comme il est réellement, si vous n’êtes pas passionné au sujet de servir Jésus sur votre lieu de travail, dans votre voisinage et parmi les Saints, d’une manière PROFONDE et JOURNALIERE. Si nous ne sommes pas concernés par le Business du Père, nous ne sommes pas en train de voir la vie comme elle est réellement ! (Gal 4 :19 ; Col 1 :28-29 ; 1 Cor15 :10 ; Heb 3 :12-14 ; Jacq 5 :20 ; Jude 21-23).
Nous concentrons nos énergies et nos passions sur les choses qui nous importent. Si ta priorité maintenant concerne ton travail, ou un divertissement ou ta vie sociale—si tu permets à ces choses de t’saigner ou d’assécher ou de vider ta Vie et ton Amour et ton temps et ton énergie et ton argent—alors tu n’es pas en train de voir le monde selon la perspective de Dieu.
Les priorités déplacées amènent des millions de gens à se retrouver « coincés ou bloqués » dans de soi-disant engagements. Ces « engagements » prennent alors une vie d’eux-mêmes—éliminant l’habilité à choisir quelque chose de meilleur, parce que nous sommes déjà « engagés ». « J’aimerais bien, mais nous devons aller là-bas » ou bien « je sais que je devrais le faire, mais je suis déjà engagé à… ». Donc, nous allons et emmenons ceux que nous aimons diligemment, vers les camps de la mort, année après année, parce que nous choisissons ce qui est « bon » plutôt que Dieu. « L’éducation »… « le savoir-vivre »… « l’occupation à faire de l’argent »… « le fait de monter en grade dans notre lieu de travail »… « vivre dans le bon quartier, à coté de la bonne école »… « bien jouer au sport pour s’affermir le caractère »… « expérimenter la vie dans un dortoir de collège »… « voyager dans le monde pour découvrir les paysages »… « manger de la nourriture diététique et mener une vie de cloîtré avec votre famille »…et ainsi de suite. Si vous considérez que ce sont des VRAIES valeurs et que vous prenez vos décisions et pratiques à partir de ces choses là, sans aucune considération du Virus fatal, alors vous souffrez d’un ou des trois problèmes mentionnés ci-dessus. Soit de déni, soit de manque de compréhension, soit des priorités déplacées qui font que vous êtes désorientés et sur le chemin des ennuis. Ces erreurs aveuglantes vous exposeront, vous et vos enfants et ceux que vous aimez, au fléau mortel ! C’est REEL. N’attendez pas qu’il soit trop tard pour vous réveiller à la réalité de ce qu’est le monde, ou à ce qu’est la réponse et au saint abandon auquel Il vous appelle, d’accord ?
Evidemment il y a des choses pratiques que nous pouvons faire pour garder notre priorité droite. Nous pouvons prendre du temps pour converser d’une manière concentrée avec Dieu. Nous pouvons lire les Ecritures souvent. Nous pouvons passer beaucoup de temps avec les gens qui aiment Dieu et qui s’intéressent sincèrement à ce qui L’intéresse. Mais la chose la plus importante que nous pouvons faire pour commencer, est d’adopter le point de vue de Dieu au sujet de ce monde—qui ajustera nos priorités automatiquement. Si tes priorités sont droites, tu seras capable de travailler dur, sans que cela épuise toute ton énergie et ta passion, pour la véritable raison que tu es vivant. Et tu seras volontaire pour rentrer tôt à la maison—même si ce projet n’est pas fait—pour passer du temps avec Jésus et Son Peuple. Tu feras un effort et prendras le risque d’offrir le remède à d’autres, aussi. Tu feras ce qu’il y a à faire, très naturellement, comme le fit Jésus.
Aurez-vous le courage de voir le monde comme il est ? Ferez-vous ce qu’il y a à faire pour répondre à cette certitude du Virus mortel qui se rapproche de nous chaque jour, du monde autour de nous et de ceux que nous aimons ? Par Sa Grâce et l’Esprit, pour l’Agneau et Ses Choisis ? Pour de vrai ?