Partie 5: L'accès au Père

6/7/1994

Maintenant Nous Nous Tenons Debout

Les Écritures enseignent que si nous aimons le monde, nous sommes les ennemis de Dieu, et que Dieu s’oppose aux orgueilleux et donne grâce aux humbles. Vous devez savoir qu’il y a en fait une guerre en cours entre l’homme déchu et le Dieu Vivant. Il y a cette guerre, mais un moyen a été fait pour avoir la paix avec le Dieu Vivant.

« Par conséquent, puisque nous avons été justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, par qui nous avons accès par la foi en cette grâce dans laquelle nous nous tenons debout maintenant » (Romains 5:1-2a).

Lorsque nous avons accès à la Grâce du Père et de Jésus par la foi, nous avons la paix avec Lui. Il y a une Grâce dans laquelle nous nous tenons debout maintenant, et nous pouvons faire face au Créateur et aller courageusement devant Son Trône de Grâce. C’est l’appel de Dieu pour chacun d’entre nous, d’être en mesure de se tenir debout dans cette Grâce. Et c’est la nôtre, si nous nous approchons de Dieu, à travers et seulement à travers, une conviction totale dans ce que Jésus a accompli. C’est en y croyant totalement, qu’Il a acheté nos péchés et racheté le droit pour nous d’être debout en paix devant Dieu, nous permettant d’avoir la même relation avec le Père qu’Adam et Eve avant qu’ils aient péché. Quand Adam est tombé, le droit à la relation intime avec Dieu a été emporté. Nous avons été totalement coupés de tout espoir de relation avec Lui. Mais alors, non seulement Il nous a racheté de retour et sauvé…… mais combien plus Jésus a restauré notre capacité d’avoir une relation avec Dieu ! Il est maintenant possible d’avoir la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ.

«… Par notre Seigneur Jésus-Christ …» Ce n’est pas juste une expression qui est répandue à travers le Nouveau Testament pour aucune raison. Cela doit être notre position devant Dieu quand nous prions—au « Nom de Jésus, Amen. » Juste dire ces mots à la fin d’une prière ne signifie rien. Quand nous prions, nos cœurs doivent être « Dieu, Tu n’as aucune raison de m’écouter, parce que je suis mort dans mes péchés et transgressions … ah, mais JESUS !! Père, Tu m’écouteras. En raison de Jésus, je viens avec audace devant Toi. » Et donc nous utilisons « un peu Son Nom », parce que le Père aime le Fils, et nous savons que si nous demandons quelque chose « en Son Nom, » cela sera fait. La nature de prier « au Nom de Jésus » est essentiellement d’aligner nos cœurs avec cette question de la grâce de Dieu, ce don gratuit qui ne peut être reçu que si nous faisons totalement confiance en Jésus, en nous fondant uniquement sur le fait que le Père aime le Fils. Il faut avoir ces mots « entre les lignes » dans nos cœurs à chaque fois que nous utilisons cette expression : « Au Nom de Jésus, Amen. » Dans notre cœur, nous devons dire : « Père, je T’invite à entendre ce que je vais dire, parce que Tu entends les prières de Ton Fils, et je cache ma vie en Lui. Je ne prie pas pour mon propre plaisir. C’est pour Jésus que je prie ceci—ce n’est pas une prière égocentrique. » Avec ce genre de cœur, les mots « au Nom de Jésus » prennent un tout nouveau sens … ce n’est pas seulement une phrase banale ou quelques « mots magiques » que nous utilisons.

Nous vivons par la foi, nous approchant de Lui dans tous les domaines de notre vie, chaque minute, avec la foi dans le Fils—« le Père aime le Fils. » Nous vivons par la foi ; c’est l’appel de Dieu. Et que la foi est une posture de cœur, qui influent sur l’attitude que nous prenons dans la façon dont nous parlons et comment nous prenons les décisions ; et comment nous répondons à l’heure de l’échec et de la réussite, de la crise et des difficultés. « Le juste vivra par la foi. » « C’est la victoire qui vainc le monde, même notre foi. » Et donc nous vivons de cette manière tout le temps. En d’autres termes, à travers Jésus, nous avons la paix avec Dieu — par le Seigneur Jésus-Christ. Nous venons au Père par Lui. « Nul ne vient au Père que par Moi », a dit Jésus. « Je suis Le chemin, Je suis La seule voie d’accès au Père. » Le Père est la destination, et nous y arrivons par le Seigneur Jésus-Christ. Nous venons au Père en paix par le Seigneur Jésus-Christ, raisonnant avec le Père non pas sur nos propres mérites, mais raisonnant avec le Père sur le mérite du Fils de Dieu. C’est vivre par la foi—faisant confiance dans la valeur de Jésus, non pas la nôtre. Ce n’est pas une « doctrine »—C’est la manière dont nous vivons notre vie ! C’est ce que Paul voulait dire quand il disait : « Par notre Seigneur Jésus-Christ »—« Ce n’est plus moi qui vis, je vis par la foi dans le Fils de Dieu.»

Nous avons obtenu l’accès par la foi à cette faveur imméritée dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Nous avons vu qu’une partie de la foi consiste à reconnaître notre propre péché. Une autre partie de la foi est de reconnaitre la puissance, l’immuable, l’impondérable et la nature de la Gloire de Dieu dans la face de Jésus Christ, et ce que cela signifie—l’accès au Père. Cet accès apporte la confiance, la paix, l’espoir et un sentiment d’accomplissement qui nous permet d’entrer dans notre relation avec le Père et les relations avec les uns les autres avec paix et courage. Maintenant nous nous TENONS DEBOUT.

Impatient De Souffrir ?

« Et nous nous réjouissons dans l’espérance de la gloire de Dieu. Non seulement cela, mais nous nous réjouissons dans nos souffrances, car nous savons que la souffrance produit la persévérance ; la persévérance, le caractère ; et le caractère, l’espoir. Et l’espoir ne nous déçoit pas, parce que Dieu a répandu Son amour dans nos cœurs par le Saint-Esprit, qu’Il nous a donné » (Romains 5:2b-5).

Nous avons beaucoup parlé sur la douleur, et j’aimerais accentuer (encore une fois) le fait que cette capacité de marcher en plénitude ne peut se faire que par une croix. Jésus a dit : « À moins que vous preniez votre croix et veniez après Moi, vous ne pouvez pas être Mon disciple. » Et la croix implique toujours plusieurs choses : le rejet, l’humiliation, la douleur et la mort à nos plans et notre identité—tous sont définis dans la croix. Si vous « n’avez pas pris » ces choses, alors il ne s’agit pas d’une véritable croix, et ce n’est pas le vrai Christianisme.

Mais « prenez votre croix » ne signifie pas que vous allez serrer les dents à ce sujet. Nous nous réjouissons dans nos souffrances, car nous savons que certaines vertus pieuses, comme les qualités du Christ, sont produites en nous par les souffrances. La souffrance produit la peau épaisse, donc je ne peux pas être facilement blessé. Ce n’est pas que je suis fier, ou parce que je crois que les gens n’ont aucune importance, et donc je me moque de ce qu’ils disent. Ou j’ai cette attitude : « J’ai mon identité dans le Christ, donc je suis à l’épreuve du feu et je n’ai besoin de personnes » ou parce que « je ne suis pas quelqu’un qui cherche à plaire. » Ceci n’est pas le Christianisme. Le Christianisme, c’est la persévérance qui dit : « Je vais trouver un moyen pour résoudre cette difficulté… Je ne vais pas me coucher en boule et abandonner. » Nous avons confiance en Dieu, tournons notre face vers Lui, et trouvons la paix avec le Père par notre Seigneur Jésus-Christ. Il n’y a aucune arrogance ou de présomption dans cela du tout. Ce n’est pas : « Je suis intouchable et je m’en moque. » Au contraire, c’est par la souffrance que l’on trouve la persévérance, la peau épaisse, et le caractère. La persévérance apporte le caractère, et le caractère apporte l’espoir. Et à la fin de chaque très sombre tunnel est la lumière de la Gloire de Dieu dans la face de Jésus de Nazareth. C’est ce que la souffrance nous apporte.

Paul pouvait dire : « Je veux connaître le Christ et la Puissance de Sa Résurrection et la participation à ses souffrances, en devenant comme Lui dans Sa mort et donc en quelque sorte atteindre à la résurrection d’entre les morts » (Phil. 3:10). Il a voulu partager dans la communion des souffrances du Christ parce qu’il savait ce que produisait la souffrance. Il n’a pas cherché à éviter la douleur ou accuser les autres qui pouvaient être la source de celle-ci de manière indirecte. Paul savait que la douleur et la souffrance viennent toujours de Dieu. Dieu est Souverain et Il ne nous permet jamais d’être tentés au-delà de ce que nous pouvons supporter. Donc, nous n’avons aucune raison de montrer du doigt à quiconque, en tout temps. Bien que satan désigne la douleur et les difficultés pour notre mal, le Père les ordonne pour notre bien. Nous pouvons faire face à nos souffrances et nos échecs et toutes les questions qui nous désespèrent avec une attitude qui dit : « Je sais que cela apportera la persévérance, la persévérance apportera du caractère, et le caractère, l’espoir. Alors amène-les ! Je tiens à partager la communion de Ses souffrances. Cela ne me dérange pas, parce que je suis trop superficiel(le) comme je suis. Je veux être une meilleure personne et avoir plus de la sagesse de Dieu. Je tiens à porter plus de Son fruit. Je m’en moque, donc amène les souffrances ! JE SUIS TROP SUPERFICIEL(LE) ! Je sais que j’ai besoin de caractère et de persévérance. J’ai besoin d’être rempli d’espérance et de louange, sans tergiversations, donnant gloire à Dieu! Je sais que j’ai besoin de ces choses, donc laisse-moi participer à la communion de Tes souffrances, Jésus. Si je peux être conforme à la ressemblance de Ta mort, alors en quelque sorte je peux être conforme à la ressemblance de Ta Vie de Résurrection et Puissance. »

C’est pourquoi nous sommes prêts à payer le prix à passer par la douleur et tourner nos visages vers Dieu au milieu de celle-ci. Nous savons que la douleur apportera la persévérance et l’endurance. Cela apportera la capacité de gérer la course lorsque la course n’est pas aussi facile que nous l’avions pensé. Au lieu de regarder derrière notre épaule, pour voir qui pourrait nous rattraper, et de craindre de perdre la course, nous attendons avec un plein espoir et force—jusqu’à la ligne d’arrivée. C’est le caractère que Dieu veut développer en chacun de nous à travers chaque circonstance qui vient sur notre chemin. Donc ne rejetez pas la douleur et les difficultés. Ne poussez pas loin de vous la souffrance…embrassez la. En fait, allez au-delà de l’embrasser…désirez la. Désireux de participer à la communion des souffrances du Christ, pour être conforme à Sa mort : un agneau conduit à l’abattage, silencieux devant Ses tondeurs. Ne vous accrochez pas à vos droits ou votre identité, et ne rétorquez ou ne vous défendez pas. Désirez que Dieu vous purifie par les choses qu’Il met sur votre chemin. Si c’est votre cri de cœur, alors Il entendra votre prière et Il vous apportera la persévérance et le caractère. Il apportera l’Espoir dans nos vies. Mais si nous n’allons pas passer par ce processus de mourir à notre vie égoïste, c’est un espoir que nous n’aurons pas.

Poursuivez à être conformes à la ressemblance de Sa mort, afin que vous puissiez être élevés dans la puissance de Sa Vie de Résurrection, Son caractère et Sa fécondité. Poursuivez-la comme vous poursuivez la louange… parce que vous savez que le Père désire des adorateurs ! Nous savons aussi que le Père désire que nous partagions dans la plénitude de Sa Vie…donc nous poursuivons dans le partage de la communion de Ses souffrances. Nous ne voulons pas être superficiels, ne plus jamais être des personnes stériles ; et la souffrance est nécessaire pour nous rendre accomplis et comme Lui. C’est nécessaire afin de faire de nous de vrais hommes et femmes. Nous avons besoin de ces choses dans notre vie, pour nous tenir éveillés, si rien d’autre ! Il est si facile de s’endormir quand tout va bien et quand tout tombe correctement en place. Sans les défis et les essais et le stress, on devient nonchalant/apathique/indolent et on s’endort. Nous ne savons même pas ce qui nous arrive, mais cela se fait.

Persévérez lorsque les moments difficiles arrivent, et ne donnez pas de coups de pied aux aiguillons. C’est difficile de frapper contre les aiguillons ! Un aiguillon, vous vous souvenez, est un long bâton muni d’une fine pointe de fer à son extrémité que les bergers utilisaient pour diriger les moutons/bœufs dans la bonne direction. Bien que Paul servait le Dieu d’Israël de tout son cœur, mais le faisait totalement incorrectement, Jésus était entrain de le piquer, l’aiguillonner et toucher avec Son bâton, en essayant de le faire aller dans la bonne direction. Il se rebiffait, et Jésus lui dit : « Il est difficile pour toi de donner des coups de pied contre les aiguillons, Saul. »

Et Dieu est comme cela avec nous. Si seulement nous nous arrêtions de donner des coups de pied aux aiguillons, nous pourrions commencer à apprendre la direction que Dieu veut que nous allions. Nous pouvons répondre à cette forte douleur avec la compréhension qu’Il nous enseigne et nous conduit. Il nous conduit toujours aux eaux calmes et aux pâturages verts et prépare une table pour nous en présence de nos ennemis. Cette petite douleur aiguë que vous obtenez de temps en temps est vraiment bien. C’est pour votre bien. Même 25 ans après qu’il devint un apôtre, Paul lui-même était encore en lutte pour comprendre ces choses. Il avait des combats avec Dieu sur certaines souffrances—un aiguillon sur le côté, une « épine dans la chair » (2 Cor. 12). Trois fois il demanda à Dieu de lui retirer…la douleur, le rejet, et l’opposition. Dieu dit : « Je ne vais rien ôter. Ma grâce est suffisante pour toi. Tu as besoin, en raison de la supériorité des grandes révélations que Je suis entrain de te donner, de cette douleur afin de te garder humble. » Et la réponse de Paul était de prendre du plaisir dans les faiblesses, les insultes, les difficultés, les persécutions et les épreuves.

Dieu est un Bon Père et Il travaille avec nous tout au long de notre vie, et ainsi nous endurons les difficultés comme discipline (Hébreux 12:7). Nous supportons la douleur et les choses difficiles de la vie avec joie dans notre cœur (comme les Écritures enseignent), parce que nous savons que DIEU est en cause. Ce n’est pas par hasard et ce n’est pas quelqu’un « quelque part en haut » qui essaye de nous faire du mal, et donc nous croyons aux mensonges que « ce n’est pas juste. » C’est Dieu Lui-même qui nous amène à un lieu de plénitude et de caractère, et parce que vous avez besoin d’y être et que vous voulez y être, vous devez recevoir ces choses.

David était un bon exemple de cela. Vous vous souviendrez qu’après il devint roi, son fils Absalon commença à le nuire pour une longue période de temps. Il disait aux gens : « Ah, David est tout simplement trop dur. Venez et suivez après moi, je vous donnerai un chemin facile. Je vous donnerai un genre de sagesse agréable qui ne coûte rien. » En fin de compte, ce beau-parleur de fils renversa David et lui pris le royaume. Ainsi, David quitta la ville dans l’humiliation et la honte avec un chiffon sur la tête (2 Sam. 15, 16). Après que David ait fui la ville, cet homme hideux et laid, du nom de Shimei le harcela et lui lança des pierres, en disant : « Malédictions sur toi, David ! Tu es sans valeur. Tu es un homme de sang. Tu mérites juste ce qu’il t’arrive. » Les hommes de David dirent : « Allons tuer cet homme. Il n’est rien ; nous pouvons le battre. » Mais David dit : « Laissez-le tranquille. Peut-être que Dieu permet tout cela pour mon bien, pour approfondir mon caractère. Peut-être que c’est exactement ce dont j’ai besoin pour le moment. » C’était plus important à David qu’il devienne semblable à Dieu que d’avoir sa cause justifiée. Il n’avait pas besoin de personnes qui pensent la chose parfaite à son sujet, si cela l’empêchait de grandir dans l’image de Dieu. Et c’est pourquoi David, un homme après le propre cœur de Dieu, était prêt à embrasser l’humiliation et était prêt à supporter le rejet et la douleur.

Je veux vous encourager à faire face à toutes les épreuves douloureuses qui vont venir dans votre vie, avec la foi. Et comme nous en avons déjà parlé, il y aura de la douleur et des tempêtes ! Mais affrontez-les avec la foi. Y faire face avec un œil vers le ciel, sachant que Dieu est aux commandes et que rien n’échappe à Dieu. Juste ou injuste, tout est vraiment de la Main de Dieu. Il veut nous changer dans Son image, et rien ne va se produire en dehors de ces épreuves. Nous avons besoin que notre foi soit raffinée par le feu afin de se développer/grandir dans la persévérance, en caractère et dans l’espérance. Chaque épreuve, apportant de la douleur, est programmée pour travailler ces choses dans nos vies et cœurs, et en fin de compte, apporte l’abondance et la sagesse.

S’il vous plaît, apprenez l’art de marcher par la foi, lorsque les choses ne vont pas la façon dont vous pensez qu’elles devraient. Tournez votre face vers Dieu. Ne vous apitoyez pas intérieurement, ne vous justifiez pas extérieurement, ne vous rebiffez pas, ne prenez pas votre revanche vous-mêmes. Tournez-vous vers Dieu à chaque fois que vous êtes tentés de vous tourner vers l’intérieur ou l’extérieur, et résolvez-le. Je ne vous dis pas d’éliminer les problèmes, mais plutôt de trouver Dieu, et de Lui faire confiance. Tournez votre visage vers lui et permettez-Lui de changer votre cœur et de vous transformer dans l’image de Jésus. « Il nous a laissé un exemple pour que nous suivions dans Ses traces » (1 Pierre 2:21). Cet exemple est qu’Il a été comme « un agneau conduit à l’abattage, silencieux devant Ses tondeurs, » et sans représailles. Comme Jésus, nous ne pourrons pas défendre notre propre cause, mais plutôt nous nous tournerons vers le Père qui juge avec justice, ne nous préoccupant plus de notre réputation ou de défendre notre position. Si nous faisons cela, nous verrons que par ces coups de fouet, Dieu apporte la guérison. Si nous souffrons volontairement et allons de l’avant avec foi, nous pouvons avoir confiance que c’est de cette manière que Dieu apporte la persévérance, le caractère et l’espoir dans nos cœurs. Faites Lui confiance pour ces choses. Gérez cela doucement et gentiment, en pensant que les autres sont mieux que vous-mêmes, sans vous défendre ou donner raison.

Si nous abordons la douleur de cette façon, Dieu apportera l’apaisement dans nos cœurs et nous transformera dans l’image de Son Fils. Ceux qui sont prêts à s’humilier au milieu des temps difficiles, émergeront dans l’avant-garde de la fertilité, la plénitude et la sagesse. Dieu permettra à l’Esprit Saint de venir dans notre vie et nous transformera en véritables hommes et femmes de Dieu.

Tu Mets Cet Amour Dans Mon Cœur !

« Et l’espoir ne nous déçoit pas, parce que Dieu a répandu Son amour dans nos cœurs par le Saint-Esprit, qu’Il nous a donné » (Romains 5:5).

Peut-être que vous pensez de/en vous-même : « Je ne suis pas une personne très aimante. Je suis dur et insensible aux besoins des autres. Je pense à moi-même quand je suis dans un groupe de personnes. Je ne pense pas à eux ou à Jésus. Je suis trop consciente de moi-même. Je ne me connecte pas avec les autres ou ne m’occupe pas d’eux. » Ce sont des signes qu’il y a un manque d’amour dans votre cœur.

Comment obtenez-vous cet amour ? Comment trouvez-vous l’émergence de l’amour ayant été répandu dans votre cœur par le Saint-Esprit, qu’Il nous a déjà donné ? Eh bien, la réponse à cette question est de vivre par la foi au milieu des circonstances et de laisser votre foi être affinée par le feu. Tournez votre visage vers Dieu, et comme la persévérance se développe, comme le caractère grandit, comme l’espoir grandit, cet espoir ne vous décevra pas. Parce que ce qui ressort de tout cela est un amour profond, que vous n’auriez pu réaliser vous-même, peu importe comment nobles sont vos objectifs, ou comment déterminés vous étiez d’avoir l’amour dans votre cœur, plutôt qu’une sorte de sévérité (qu’elle soit fondée dans la vérité ou l’égoïsme). Lorsque nous marchons par la foi, dans l’espérance et la confiance et avec tout venant par/de Jésus, cela permet à l’Esprit Saint de répandre l’amour dans nos cœurs de manière spectaculaire. Il change notre caractère—la nature même de qui nous sommes—afin que nous devenions des personnes aimantes.

Avoir l’Amour Vrai dans votre cœur exige, que vous alliez volontairement dans cette voie de la douleur, de la foi, de la persévérance, du caractère, et de l’espoir. Comme toutes ces choses sont forgées/tissées dans votre vie, un fleuve d’amour commence à couler dans votre cœur par le Saint-Esprit ; et vous commencez à prendre soins des autres gens, plutôt que vous-même. Vous remarquez d’autres personnes plus que vous-même. Vous pensez à d’autres personnes plus qu’à vous-même. Le but de Dieu à travers toutes ces choses qui émergent en même temps, est que vous aimerez comme Il aime. Comme votre caractère se purifie, votre cœur se remplit d’espoir. Et puis cette espérance ne déçoit pas, parce que l’amour de Dieu est répandu de façon spectaculaire dans votre vie.

Si vous n’êtes pas entrain de suivre la séquence de toutes ces choses, il suffit de commencer avec cette mesure très simple : Face à la crise, tournez votre face vers Dieu. Si seulement vous faites cette chose simple, alors toutes ces autres choses vont commencer à prendre place dans votre vie automatiquement. Vous avez la promesse de Dieu sur ce sujet et vous pouvez Lui faire confiance. « Cet espoir ne vous décevra pas. »

Comment pouvons-nous être sûrs que « cet espoir ne nous décevra pas » ? Comment pouvons-nous avoir une telle confiance dans le fait qu’Il a non seulement payé nos péchés ; mais qu’Il nous a également rachetés en totalité, pour que nous devenions des hommes et femmes complets, comme Christ ? Comment pouvons-nous être sûrs que nous ne sommes pas seulement des « survivants », qui meurent et vont directement au ciel ? Nous pouvons être des hommes et des femmes qui ressemblent beaucoup à Jésus dans nos relations quotidiennes—dans nos modes de pensées, dans nos attitudes, dans nos actions, dans nos cœurs, dans notre sagesse et dans notre amour. Nous pouvons avoir une telle confiance en raison de la nature de l’alliance que Dieu a faite avec nous par Jésus.

« Vous voyez, au bon moment, lorsque nous étions encore impuissants, le Christ est mort pour des impies. Très rarement on mourrait pour une personne juste, bien que pour un homme bon peut-être quelqu’un pourrait oser mourir » (Romains 5:6,7). Pour un « homme bon, », quelqu’un qui est un vrai héros à la vue de tout le monde, on pourrait être prêt à mourir. Quelqu’un pourrait mourir pour un lauréat Prix Nobel de la paix, ou le Président de la France. Pour quelqu’un qui est estimé aux yeux de tout le monde, quelqu’un pourrait effectivement être prêt à mourir. Mais est-ce que quelqu’un serait disposé à mourir pour un homme juste, un qui vit une vie sainte et expose le péché, parce qu’il a été dans la présence de Dieu ? Sauf pour les croyants, nul ne pourrait mourir pour un homme comme ça. En fait, dans une génération non-croyante, une personne comme ça serait crucifiée ! Il ne serait le héros de personne !

« Mais Dieu prouve Son amour pour nous en ceci : Alors que nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. Depuis nous avons été justifiés par Son Sang, combien plus nous serons sauvés de la colère de Dieu à travers Lui » (Romains 5:8,9). Il n’y a aucun doute que la colère de Dieu est ce que nous méritons comme pécheurs. Mais combien plus, en raison du Sang du Christ, sommes-nous libérés de la colère de Dieu. Ce n’est pas que nous sommes innocents. En fait, nous sommes coupables, mais le prix a été payé ! Paul le dit encore et encore qu’on devrait avoir une énorme confiance dans nos vies. Nous ne sommes pas juste des réchappés! Si nous sommes bien méritants de la colère, combien plus, à cause du Sang de Jésus, sommes-nous dignes de la liberté ?! Si vous avez vraiment fait confiance au nom de Jésus, caché votre vie en Lui, et a été habillés avec le Christ—même si vous méritez la colère, combien plus en raison de Son Sang vous méritez la liberté ! C’est la nature de l’Alliance. Si Jésus Lui-même est mort pour vous, ne doutez jamais la plénitude du Pouvoir d’achat de Son Sang. Ne diminuez jamais la nature et la qualité de la Vie du Fils de Dieu, en questionnant si vous êtes en train d’y parvenir de justesse. Ce n’est pas une alliance où Jésus dit : « Bon, OK, Je suppose que Je vais te laisser entrer » La nature de l’alliance est : « VIENT ! Béni, choisi de Mon Père, vient dans la pleine mesure de la Gloire qui a été mise de côté pour toi avant que les âges n’aient jamais été créés. Tout cela était destiné pour toi avant que la vie commence. Entre ! » Et vous dites : « Qui ? Moi ? » Il dit : « Oui, toi. » Combien plus en raison du Sang de Jésus ! Il appelle chacun de nous à accepter la glorieuse plénitude de l’achat de nos vies d’entre les morts. Il ne s’agit pas seulement de « survivre », mais d’une glorieuse grande victoire. Cela fait partie de la foi, de recevoir la victoire et la confiance trouvée dans le Christ et d’y croire avec Tout votre cœur. Permettez-Lui de vous laver et vous nettoyer, et ensuite acceptez la pleine signification de cela avec confiance en raison de la nature du prix payé, qui était Jésus Christ.

Liberté Totale

« Depuis que nous avons maintenant été justifiés par Son Sang, combien plus sommes nous sauvés de la colère de Dieu à travers Lui ! Car si, lorsque nous étions les ennemis de Dieu, nous avons été réconciliés avec Lui par la mort de Son Fils, combien plus, après avoir été réconciliés, nous serons sauvés par Sa Vie ! Non seulement est-il ainsi, mais nous nous réjouissons aussi en Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, par qui nous avons maintenant reçu la réconciliation » (Romains 5:9-11). La guerre est terminée et le traité est un fait accompli ! Il y a la réconciliation—la paix globale sur ce qui était autrefois le champ de bataille. Combien de fois plus, combien de fois plus ! Pouvez-vous comprendre la plénitude de ce que Jésus a fait, qui Il était et le prix qu’Il a payé ? Toutes ces choses peuvent si facilement devenir des clichés. Mais si vous considérez la magnificence, et comprenez vraiment la plénitude de ce que cela signifie, que le Fils de Dieu sans reproche est mort au lieu de vous—lorsque vous avez vraiment compris cela — combien de fois plus alors si vous êtes sauvés. Quel Grand Salut cela devient pour vous ! Quelle incroyable délivrance c’est ! Demandez à Dieu de vous aider à comprendre la plénitude de ce que cela signifie maintenant pour votre vie, parce que ces choses sont ainsi. Combien de fois plus, combien de fois plus.

Et qu’en est-il de la profondeur de votre dépravation—Oui ! Vous devez comprendre cela. Mais aussi comprendre l’impressionnante totalité de la liberté accomplie. L’anéantissement absolu et total de la peine du péché dans votre vie. Mort, où est ta victoire ? Où est ta piqûre !? Si nous avons appréhendé la plénitude de Jésus, il n’y a plus rien qui reste de la condamnation et de l’aiguillon de la mort. Libres de la colère et vivant à Christ—si nous vivons vraiment par la foi dans le Fils de Dieu, alors l’ensemble de ces choses deviennent une réalité concrète dans notre vie. Comment bien plus encore ! Il n’y a absolument aucune crainte à cet égard.

« Par conséquent, tout comme le péché est entré dans le monde à travers un homme (Adam), et la mort par le péché, et de cette façon la mort est venue à tous les hommes (y compris vous et moi), parce que tous ont péché—car avant que la loi soit donnée, le péché était dans le monde » (Romains 5:12-13a). De même que la foi est venue dans le monde avant la circoncision, de même le péché est entré dans le monde avant que la loi fut donnée. Avant que la Loi de Moïse n’arrive, le péché était là. Il y a eu un rejet de Dieu, un désir d’être des dieux en nous-mêmes, sachant le mal et le bien—prendre nos propres décisions, faisant nos propres plans et nous justifiant. Toute cette rébellion contre Dieu est venue bien avant la loi. Paul dit ici que la loi n’est pas vraiment ce qui vous condamne. Le péché est entré dans le monde bien avant la loi.

« Or, le péché n’est pas imputé, quand il n’y a point de loi. Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu’à Moïse, même sur ceux qui n’avaient pas péché par une transgression semblable à celle d’Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir. Mais il n’en est pas du don gratuit comme de l’offense; car, si par l’offense d’un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d’un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandues sur beaucoup. »(Romains 5:13b—15). Point d’exclamation ! Adam a vécu une vie de mort quand il a vendu son certificat de naissance et a choisi d’être un « dieu »—prendre ses propres décisions, vivant sa propre vie, ayant sa propre sagesse, déterminant ce qu’il croyait être vrai ou faux. Dès qu’Adam devint un mini-dieu à lui-même, la mort vint dans le monde. Il vécut une vie de mort, séparé de Dieu.

Maintenant, si la mort vient à nous de la même manière, en vivant comme un mini-dieu, combien de fois plus la VIE ne vient à nous qu’en nous soumettant au Seul Vrai Dieu par le Sang de Jésus-Christ ? Combien de fois plus, La Vie vient à nous ? Avez-vous déjà senti la peine de mort dans vos propres os et combien c’est bien mérité? (Romains 1, 2 et 3) Alors sûrement, si vous voyez Jésus haut et élevé—l’Agneau de Dieu immolé avant les fondements de la terre—si vous pouvez voir ce que cela signifie, combien de fois plus allez-vous vivre dans la Vie ? Lorsque vous voyez l’offense d’un homme introduisant le péché et le péché la mort, combien plus Jésus de Nazareth mourant pour notre péché apporte la Vie qui soit vraiment la Vie ! Paul commence à parler de la Vie de Résurrection, la Victoire de la Résurrection, une Célébration de la Vie Indestructible ! La Puissance de Dieu dans la Vie de Jésus-Christ, donnée à nous comme nous vivons par la foi. S’il vous plaît, considérez la mesure de la plénitude de ce que Dieu prévoit par ces choses.

« Et il n’en est pas du don comme de ce qui est arrivé par un seul qui a péché; car c’est après une seule offense que le jugement est devenu condamnation, tandis que le don gratuit devient justification après plusieurs offenses. Si par l’offense d’un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l’abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ. » (Rom. 5:16,17). Si vous n’êtes pas entrain de régner dans la vie—vivant dans la plénitude de la Vie de Dieu en étant victorieux sur le péché, la fatigue et le désespoir ; victorieux sur la confusion et la superficialité des relations—s’il y a un manque de sagesse et de productivité dans votre vie, c’est parce que vous ne croyez pas encore Dieu. Chaque question de la vie éternelle découle de cette chose appelée la foi—de croire Dieu. Pleinement, pleinement croire Dieu comme la défense de tous vos ennemis, comme la justification de tous vos péchés, comme la consécration pour tout votre avenir. Vous vivez par la foi dans le Fils de Dieu, par la Vie de Dieu s’écoulant par vous maintenant.

Si vous ne vivez pas dans la plénitude de la Vie de Dieu, c’est que vous vivez encore un « demi-dieu » genre de vie : faisant de vous-même un dieu, sachant le bien et le mal, déterminant qui est vrai et qui est dans l’erreur ; décidant ce que vous aimez et ce que vous n’aimez pas, où vous aller et où vous n’allez pas, ce que vous allez faire et ce que vous n’allez pas faire. Vous vous êtes adoubé vous-même d’être un dieu, plutôt que de vivre par la foi dans le Fils de Dieu, qui exige de mourir au monde et le monde à vous, mourir à votre vie naturelle et de renier votre moi. S’il vous manque la puissance de régner dans la vie, c’est parce que vous ne vivez pas encore par la foi dans le Fils de Dieu. Vous êtes toujours entrain de vivre par la foi en vous-même—vos connaissances, vos propres bonnes actions, votre générosité, vos réalisations. Votre foi est dans votre apparence charnelle ou les relations charnelles ou dans le problème si commun de se comparer aux autres.

DE VIVRE PAR LA FOI DANS LE FILS DE DIEU c’est cela la vie Chrétienne. Après être venus à Lui sur la base de la foi et avoir commencé dans l’Esprit, n’essayez pas d’obtenir votre objectif par simple effort humain (Gal. 3:3). Vivez par la foi dans le Fils de Dieu. Vivez avec chaque fibre de votre être tournée vers Lui dans toutes les questions de la vie. Dans chaque réalisation que vous avez, dans chaque échec ou péché qui se faufilerait dans votre vie ; dans chaque déception concernant des relations, dans tous les vides que vous voyez dans votre cœur—tournez-vous vers Jésus de Nazareth. Tournez votre face entièrement vers Lui et demandez-Lui de remplir votre cœur. Ayez confiance en Lui—croyez-LE—qu’Il est en mesure d’achever ce qu’Il a commencé en vous (Phil 1:6).

Il Apporte Tout à Table

« Or, la loi est intervenue pour que l’offense abonde, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé, afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce règne par la justice pour la vie éternelle, par Jésus-Christ notre Seigneur. » (Romains 5:20-21). Si vous ne croyez pas que vous n’avez rien à offrir, examinez simplement de près ce que Dieu exige de vous. La loi a été ajoutée pour vous rendre conscients du péché (Romains 3). La loi a été ajoutée pour que l’offense puisse augmenter, pour que vous puissiez voir à quel point vous êtes vides/dénués de tout. Si vous ne croyez pas cela, alors vous ne connaissez pas très bien les exigences de Dieu ! Dieu introduisit Sa loi et Sa justice sur la terre pour vous faire réaliser comment incroyablement désespérés vous êtes pour Lui. Mais ne vous arrêtez pas là, parce que « là où le péché se multiplie, la grâce augmente d’autant plus ! » De même que le péché a régné par la mort, maintenant la grâce règne par la justice pour introduire la Vie Éternelle à travers Jésus Christ notre Seigneur.

Êtes-vous juste un cas trop dur ? Vous avez failli teeeellement de fois, et il n’y a rien en vous avec lequel on puisse travailler, et vous l’avez prouvé maintes et maintes fois, n’est-ce pas ? Si c’est comme cela que vous pensez, alors vous ne croyez pas Dieu. Il n’est pas préoccupé par le nombre de fois où vous avez échoué, ou avec ce que vous apportez à table. Ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Si vous pensez que vous puissiez apporter quelque chose à table, vous êtes déjà morts. Il s’agit de reconnaître que vous ne pouvez apportez sur la table rien du tout, pourtant Lui faire confiance, qu’Il apportera tout sur la table. La raison pour laquelle si peu de gens comprennent cela et Vivent en Plénitude, c’est qu’ils pensent qu’ils peuvent apporter quelque chose sur la table. C’est le dilemme.

Si vous pensez que vous avez quelque chose à offrir dans l’ensemble de la situation, alors c’est sans espoir pour vous…vous êtes morts ! Vous ne trouverez jamais la plénitude du Christ. Si enfin je reconnais que je ne peux rien apporter, mais que je ne croie pas vraiment qu’Il puisse tout apporter sur la table, alors je vais encore vivre dans la pauvreté ! Il apporte une fête totale à la table—vous n’aurez pas faim ! Cette fête est la mienne. Je célèbre Sa fête. Ses ennemis sont mes ennemis. Ses biens, mes biens. Si je ne crois pas vraiment qu’Il a fait une alliance avec moi par le Seigneur Jésus-Christ, et qu’Il m’aime tout simplement parce que « le Père aime le Fils » ; et que ma vie est cachée en Lui…si je ne crois pas et ne célèbre pas cela sans tergiversations—pleinement convaincu, donnant gloire à Dieu —alors je continuerai à marcher dans le vide et la pauvreté. Et ce n’est pas Son désir pour moi. *

Croyez que vous n’avez rien à offrir ; c’est bon. Maintenant continuez à croire qu’Il a tout à offrir et tout ce qu’Il a est à vous ! C’est la grâce. C’est la faveur imméritée. C’est gratuit, il suffit de demander. Et il ne s’agit pas seulement d’un déjeuner gratuit—c’est un banquet gratuit ! À vous de le demander, simplement parce que vous Lui faites confiance et croyez en Lui. Vous n’avez qu’à LE croire. Votre confiance est entièrement en Lui.

Pas De Survivants Faibles et Misérable

« Que dirons-nous donc ? Demeurerions-nous dans le péché, afin que la grâce abonde ? Loin de là ! » Certainement pas ! Quelle ignoble pensée ! « Nous qui sommes morts au péché, comment vivrions-nous encore dans le péché ? Ignorez-vous que nous tous qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est en Sa mort que nous avons été baptisés ? Nous avons donc été ensevelis avec Lui par le baptême en Sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi nous marchions en nouveauté de Vie. » (Romains 6:1-4).

Quoique la résurrection de Jésus soit glorieuse, c’est exactement combien glorieuse le Père veut votre vie ! Pouvez-vous imaginer dans vos pensées combien glorieuse était la Résurrection de Jésus ? Imaginez l’ange rencontrant Marie, Pierre et Jean, et la Gloire quand la pierre trembla et se roula en arrière ; et les gardes s’enfuyant dans la peur. Envisagez la Résurrection glorieuse de Jésus avec Son visage brillant comme le soleil à midi ! C’est l’intention de Dieu pour votre vie—tout l’ensemble.

Quitter les pensées sur la façon dont vous vous voyez (combien superficiels et entièrement pécheur). Ces choses sont vraies, mais par la foi en Jésus—en Lui faisant pleinement confiance, et en Son Nom, Son Sang et Son Esprit—quelle résurrection glorieuse Il amène dans votre vie ! Tout comme Jésus a été enterré, de même, nous sommes aussi ensevelis avec Lui dans le baptême. Comme nous sommes identifiés avec Lui dans Sa mort, combien plus serons-nous aussi identifiés avec Lui dans la ressemblance de Sa Résurrection. La Gloire du Père brillant dans votre vie comme elle a brillé à travers la Résurrection de Jésus. C’est l’intention de Dieu ! Voici, toutes choses sont nouvelles ! Pas de survivants faibles et misérables—mais des vies qui explosent avec le témoignage de la Gloire de Dieu.

Donc, nous confrontons la pauvreté de notre cœur et la profondeur de notre péché sans orgueil et sans demander quoi que ce soit. Nous venons à la table avec rien, sachant que nous n’avons rien à offrir—nous sommes tout à fait inutiles, dit l’Écriture. Si nous faisons face à ces faits, nous allons nous retrouver venant à Jésus et nous humiliant devant Lui. Il donnera ensuite Sa Vie de Résurrection, qui est le « comment de fois plus » genre de vie. Né de la race d’Adam par une jeune paysanne ordinaire du nom de Marie, Jésus a montré pour nous la Gloire de cette Vie de Résurrection—comment vivre dans la puissance de la relation de la Gloire de Dieu. C’est ce que Dieu désire pour nous, mais nous devons avoir la foi pour cela—nous avons à croire ceci.

Si au lieu de regarder à notre propre péché, faiblesse et superficialité pitoyables, nous croyions à ce que Dieu dit, alors avec de plus en plus de gloire, d’un degré de gloire à un autre, puis un autre à un autre, nous expérimenterons aussi la Vie de Résurrection. Nos visages brilleront comme un ange, comme Stéphane, parlant une sagesse que les hommes ne pourront pas opposer. Nos mains feront des choses que les simples hommes ne pourront pas faire. Nos yeux verront des choses que les simples hommes ne pourront pas voir. Nos bouches diront des choses que les bouches des simples hommes ne pourront jamais dire. Nos cœurs sentiront les choses que de simples hommes ne pourront jamais sentir. Et nos pieds iront dans des lieux où de simples hommes ne pourront jamais aller. (Rappelez-vous comment Philippe a été transporté d’un endroit à un autre sans marcher ou chevaucher ! : )) Nous pouvons marcher sur l’eau comme Pierre l’a fait—un simple homme—tout simplement en gardant les yeux sur Jésus, en croyant Sa Parole, « Venez à Moi. » Ces choses sont pour la race humaine qui n’est plus sous la malédiction d’Adam, mais qui est maintenant entrain de vivre par la foi dans le « combien de fois plus » genre de Vie de Résurrection. Nous ne sommes plus soumis à la loi de la pesanteur. Pierre et Philippe l’on prouvé ! Nous ne sommes pas soumis au régime normal des lois de la nature, comme Paul l’a prouvé avec son mouchoir, qui amena la guérison aux gens. Si nous allons vraiment vivre par la foi, nous pouvons vivre dans un « combien de fois plus » genre de Vie de Résurrection—d’un degré de gloire à un autre !

Ne croyez pas que cela va changer du jour au lendemain. Jour après jour, notre foi est testée par le chagrin, la douleur et le rejet, puis nous grandissons dans la persévérance, en caractère, en espoir et l’Amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit. Nous grandissons d’un degré de gloire à un autre. Vous ne claquez simplement pas vos doigts et dites : « Bon, je crois. » Cela ne se passe pas de cette façon. C’est DIEU qui amène la Résurrection dans notre vie d’un jour à l’autre, d’un espoir à un autre, de gloire en gloire, et de foi en foi ! Voilà comment cette lettre aux Romains commence—de foi en foi en foi ! De gloire en gloire en gloire—c’est un processus comme Il nous transforme en l’image du Fils ; et comme nous devenons une habitation de Dieu par l’Esprit. Alors même que nous parlons ces paroles, satan se recroqueville dans la douleur, parce que vous recevez ces paroles de votre droit d’héritage et la vision de ce que Dieu veut pour votre vie personnelle.

Faites face à votre péché et à vos peurs, réclamant rien pour vous-même. Faites face à la tristesse, la douleur, le rejet et le désespoir, et alors tournez véritablement votre cœur vers Jésus et croyez en Celui que le Père a envoyé. « C’est le travail de Dieu—de croire en Celui que le Père a envoyé. » Si vous le faites, alors vous vaincrez le monde. Vous ferez sauter ce monde par la puissance de Dieu vivant à travers vous. Et cela ne sera pas vous, parce que vous êtes morts et vous ne vivez plus ! Maintenant vous vivez par la foi dans le Fils de Dieu. Maintenant par votre foi, vous pouvez vaincre le monde (1 Jean 5:4). Vous le ferez en croyant que Dieu fait ce qu’Il dit. Croyez-Le ! Il « appelle les choses qui ne sont pas comme si elles sont » (Romains 4:17). S’Il dit que vous êtes une personne spirituelle, peut-être que vous ne vous sentez pas ainsi, mais ne discutez pas avec Dieu à ce sujet. Il « appelle les choses qui ne sont pas comme si elles sont. »

Tout comme Il a créé les cieux et la terre, et a dit : « Que la lumière soit,» Il travaille également Sa puissance créative en vous. Comment cela se fait-il ? De la même manière que Dieu a créé la lumière. Il a parlé Sa Parole « Que la lumière soit »… et elle vint à être. Si vous Le regardez, alors Il vous transformera en Son image d’un degré de gloire à un autre, par le Seigneur qui est l’Esprit (2 Cor. 3:18). Comme nous Le contemplons ! Sa Parole a parlé et le résultat a été la Gloire de Dieu brillant dans la face de Jésus Christ. Si nous croyons et entendons la Parole créatrice de Dieu et mettons tout notre espoir et la confiance sur cela, Il nous changera de gloire en gloire, et de FOI EN FOI !

Regardez-Le et tournez-vous vers Lui et reposez votre cas en Jésus comme la réponse du Père à toutes les questions, et la satisfaction du Père pour chaque demande envers vous! Fixez vos yeux sur Jésus en toute circonstance de la vie comme la réponse, la solution, et l’ancre qui est au sein du voile. Ohhh!, si nous élevions Jésus ! Vivre par la foi en Lui. Non seulement nous venons à Lui par la foi, mais nous vivons aussi par la foi dans le Fils de Dieu. Ensuite, Dieu nous amène, d’un degré de gloire à un autre, à régner dans la vie par la même Puissance qui a ressuscité Jésus d’entre les morts (Éphésiens 1 et Rom. 5, 6).

Libéré Du Péché

« Si nous avons été unis avec Lui dans Sa mort » —ayant vu comment tout à fait ténébreux et pécheur nos cœurs sont en dehors de Lui (Romains 1, 2 et 3)—« nous allons certainement être uni à Lui dans Sa résurrection. Car nous savons que notre vieil homme a été crucifié avec Lui afin que le corps du péché puisse être éliminé—rendu impuissant. »

Voulez-vous le lire pour vous-même en noir et blanc ? Non seulement la peine du péché, mais le corps du péché—le travail continuel du péché—a été tué ! Il est anéanti, rendu impuissant ! La liberté de la peine et la puissance du péché ! C’est la volonté de Dieu et notre héritage ! Le corps du péché est crucifié et dans le tombeau, et nous sommes élevés à une nouvelle Vie de Résurrection, « que nous ne devons plus être esclaves du péché, car toute personne qui est décédée a été libéré du péché » (Romains 6:6b, 7).

Ne seriez-vous pas d’accord qu’un cadavre est libéré du péché ? Un cadavre ne va pas être facilement tenté. Si nous mourrions au péché et faisions face à Dieu ; si nous regardions en face notre péché et mourrions à toute notre propre justice ou estime de nous-mêmes, et plutôt trouvions toute notre valeur dans le fait que le Père aime le Fils… alors la Puissance de la Vie travaillerait en nous, au lieu du corps du péché et de la puissance de la mort. Nous pouvons régner dans la vie. Si vous êtes une personne timide, vous pouvez vivre dans le courage, la liberté, la paix et l’amour, vous occupant plus des autres que de vous-même. Si vous êtes une personne craintive, vous pouvez vivre dans la confiance—non pas une confiance prétentieuse et arrogante, mais une confiance pacifique, faisant confiance à Dieu. Si vous êtes en proie à toute sorte de péché, vous pouvez les nommer, Dieu peut amener la paix. Je ne suis pas entrain de parler de « fléchir les muscle. » Ce n’est pas la nature d’une vie de vainqueur. Dieu apporte la paix et la sécurité qui rendent ces choses inutiles.

Dieu veut apporter en vous une liberté du péché, parce que si vous avez été crucifiés avec le Christ, alors la mort que le Christ mourut est aussi votre mort. Dieu la désire et Il la veut pour vous ! Comprenez et croyez qu’il ne s’agit pas plus de votre volonté ; c’est au sujet de Sa volonté. Il ne s’agit pas de ce que vous pouvez faire pour Dieu, il s’agit de ce que Jésus a fait pour Dieu ! Si vous croyez cela, jour après jour, circonstances après circonstance, vous trouverez la Puissance de Dieu et la Vie de Résurrection travaillant à l’intérieur de vous. Votre personnalité et vos attitudes changeront—elles ne seront plus les mêmes. Les péchés qui vous ruinaient jour après jour ne vous toucheront plus. « Le prince de ce monde est venu, mais il n’a rien en Moi. » C’est la Vie de Jésus qu’Il veut mettre en vous en gloire croissante. C’est votre héritage. Cela va bien au-delà d’être juste sauvé ; cela suit à être « remplis à la pleine mesure de la stature de la plénitude du Christ » (Éphésiens 4). C’est Son désir pour vous.

« Maintenant, si l’on est mort avec le Christ, nous croyons que nous allons vivre avec Lui. Car nous savons bien que depuis le Christ est ressuscité d’entre les morts, Il ne peut pas mourir de nouveau; la mort n’a plus de maîtrise sur Lui. La mort qu’Il mourut, Il est mort au péché une fois pour toutes ; mais la vie qu’Il vit, Il vit pour Dieu » (Romains 6:8-10). Si la mort n’a plus de maîtrise sur Lui, elle n’a pas à avoir de la maîtrise sur vous non plus. Il est mort pour vous à cause du péché qui vous asservirait. Et si vous alliez sur la croix avec Lui, et croyez qu’Il est mort non seulement pour vous libérer de la peine du péché, mais aussi de la puissance du péché, alors le péché ne possède plus la domination sur vous. Il ne vous détient plus comme son esclave. Vous n’avez pas à être la même personne demain que vous l’avez été pour les 5, 10, 25 ou 45 dernières années. Le péché n’a pas à vous dominer. Pourquoi ? Parce que Jésus a vaincu le péché pour vous. Jésus a vaincu le pouvoir du péché pour vous. Vous n’êtes plus obligés de vivre en elle plus longtemps. Le péché n’a pas à vous contrôler et faire de vous un esclave plus longtemps, parce que Jésus a coupé les chaînes et la porte de la cellule s’est ouverte. Vous n’avez pas à pourrir dans votre cellule plus longtemps. Il a ouvert la porte grande ouverte. Il a payé le prix. Maintenant allez-vous sortir ? Par la foi vous sortez parce que vous croyez que Jésus a brisé le joug du péché et rendu impuissant le péché dans votre vie. Vous croyez cela. Vous le croyez quelle que soit votre histoire personnelle et vous le croyez de tout de votre cœur. « Le péché ne possède pas la domination sur moi ! »

« De la même manière, comptez-vous morts au péché, mais vivants pour Dieu en Jésus-Christ. Par conséquent, ne laissez pas le péché régner dans vos corps mortels [car il n’y a pas besoin de le faire !] De sorte que vous obéissiez à ses mauvais désirs. N’offrez pas les parties de votre corps au péché, comme instruments de méchanceté, mais plutôt offrez-vous à Dieu, comme ceux qui ont été ramenés de la mort à la vie » (Romains 6:11-13a). N’offrez pas les parties de votre corps au péché ! Le péché n’a plus à vous contrôler plus longtemps ; il ne peut plus vous prendre. Pour que le péché ait la dominion maintenant, vous devez vous offrir au péché. Le péché ne peut plus venir de l’intérieur et vous contrôler plus longtemps. Au contraire, il vient de l’extérieur, et vous devez volontairement l’embrasser. La nature de la Liberté de l’Esprit de Dieu et ce que Jésus a fait quand Il mourut au Calvaire, était qu’Il a totalement aboli la puissance du péché et a brisé les chaînes de satan pour toujours. Satan a été rendu complètement impuissant en raison de la crucifixion de Jésus (Col 2). Alors, quand viennent les tentations, nous croyons à cela, et ensuite la puissance du péché est brisé en nous et le péché ne nous contrôle plus de l’intérieur. Le péché vient de l’extérieur et si nous finissons par être contrôlé par lui, c’est parce que nous avons offert les parties de notre corps au péché. Nous avons à le désirer. Nous avons à vouloir le faire, parce que le péché ne peut pas nous contrôler. Il n’a plus de pouvoir sur nous. C’est la nature de la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ. Il ne s’agit pas seulement de : « J’ai un manoir/château sur la colline. » Il s’agit de : « Je vis dans la Vie de la Puissance de Dieu maintenant. Je vis par la foi dans le Fils de Dieu. »

« De la même manière, comptez-vous morts au péché, mais vivants pour Dieu en Jésus-Christ » (Romains 6:1-11). Voici une vraie déclaration de foi !

« Mais je ne me sens pas mort au péché.» Si vous ne vous « sentez » pas mort au péché, est-ce une bonne raison de ne pas vous considérer comme mort au péché ? N’est-ce pas que Jésus mourut et ressuscita à nouveau ? N’est-Il pas assis à la droite de Dieu? Le corps du péché, la plénitude du pouvoir du péché, a été crucifié avec Jésus sur la croix. Il est mort au péché, et parce que nous avons été crucifiés avec Lui, nous sommes morts au péché aussi. Par conséquent, le péché n’a pas de pouvoir sur nous ! « Reconnaissez-vous morts au péché. » C’est fait. C’est réglé. C’est une question qui a été résolue. Le Fils de Dieu est mort pour votre péché. Parce qu’Il est mort pour votre péché, vous n’avez plus besoin de vivre en lui.

Avez-vous vraiment compris ce que Paul essaye de dire ici ? Prenez par exemple la timidité. Une personne timide n’a pas besoin de se repentir d’être timide; ils ont besoin de se repentir de ne pas croire Dieu ! Parce que Dieu dit : « Tu n’es plus timide. » Qu’il s’agisse des désires, de l’orgueil, de l’égoïsme, de la mauvaise humeur ou de l’impatience avec lequel vous luttez, si vous avez vraiment compris ce que Paul essaye de dire ici, vous savez que ce n’est pas de ces « choses » que vous avez besoin de vous repentir. Vous avez besoin de vous repentir de votre incrédulité ! Vous ne pourriez pas marcher dans ces péchés, si vous croyez vraiment que tous vos péchés ont été crucifiés avec Jésus. Votre conviction/croyance serait manifestée dans votre vie d’une manière que ces péchés ne pourraient plus vous tenir plus longtemps en captivité.

Par la Puissance de l’Esprit et le Christ Ressuscité, LE PÉCHÉ N’A PLUS DE DOMINATION SUR VOUS ! Les fers sont brisés ! Croyant que le péché n’a plus de domination sur vous, c’est ce que permet le péché de ne plus avoir de domination sur vous. Vous devez comprendre, apprécier et pleinement et totalement croire que les choses qui vous ont tenus en captivité ont été crucifiées avec Jésus. Si vous croyez vraiment, du cœur, que la puissance du péché a été brisée par la mort de Jésus sur la croix, alors quand viennent les tentations, elles fuiront. Elles ne peuvent pas vous prendre. Mais ne vous reconnaissez pas mort du point de vue de votre propre volonté, ou du point de vue de votre propre histoire, que ce soit en bien ou en mal. Reconnaissez-vous mort au péché du point de vue de la victoire de Jésus sur le péché et la mort, et ENSUITE le péché ne peut pas avoir de domination sur vous. Il n’existe pas de puissance quelle qu’en soit le péché, qui n’a pas été élevée à la croix. Le pouvoir dans le péché nous maintient seulement en captivité, lorsque nous tentons de le contenir avec notre propre volonté, notre propre justice ou avec nos propres bonnes actions. Lorsque nous comparons et contrastons, vivant dans ce monde horizontal, le péché continue à dominer sur nous.

Mais quand nous poussons cela dans la face de satan à cause de ce que Jésus a fait et que nous nous considérons morts au péché, alors la puissance du péché est brisée ! La puissance du péché, c’est seulement un pouvoir « imaginaire » si nous raisonnons par la foi dans le Christ, plutôt que par notre propre volonté, ou en nous efforçant de faire de bonnes actions ou en nous efforçant de vivre une vie sainte. Le péché n’a pas de pouvoir sur ceux qui vivront par la foi et qui pensent que ce que Dieu dit est vrai. « Car nous savons que notre vieil homme a été crucifié avec Lui, afin que le corps du péché soit éliminé, que nous ne devons plus jamais être esclaves du péché—car toute personne qui est décédée a été libéré du péché. Par conséquent, ne laissez pas le péché régner dans votre corps mortel pour que vous obéissiez à ses mauvais désirs » (Romains 6:6-12).

« Ne laissez pas le péché régner dans votre corps mortel »… parce que vous N’AVEZ PAS à le faire ! Ce n’est pas nécessaire ! Dieu vous donne toujours un moyen de s’en sortir. Vous n’êtes « jamais tentés au-delà de ce que vous pouvez supporter. » Pour ceux qui « vivent par la foi, plutôt que par la vue », qui vivent par le Seigneur crucifié, plutôt que par leur propre justification, le péché vient de l’extérieur. Mais si vous essayez de vous justifier en faisant de bonnes actions, de « garder la loi », et même en obéissant aux commandements de Jésus, alors le pouvoir du péché continuera de régner. Si vous vous présentez à Dieu fondé sur les « bonnes choses » que vous faites, et les « mauvaises choses » que vous pensez que vous ne les faites pas, vous pouvez être sûrs que le pouvoir du péché continuera à régner. Nous avons seulement le pouvoir sur le péché dans la mesure où nous vivons devant Dieu dans une attitude qui dit : « Je sais que je n’ai pas la puissance, mais alors que nous étions encore pécheurs, TU est mort pour nous tous, les impies. Maintenant, en raison de TA mort, la puissance et la peine du péché sont parties à jamais de ma vie. » VOILA comment nous devons raisonner avec Dieu. Ce que Jésus a fait est la question, pas ce que nous avons fait.

Si nous nous considérons morts au péché, mais vivants pour Dieu en Jésus Christ—si c’est comme cela que nous vivons, alors, « bien que le prince de ce monde est venu, il n’a rien en moi. » Pourquoi ? Parce qu’il n’a rien en Jésus ! C’est la seule identité que nous avons. C’est le seul raisonnement que nous avons devant Dieu ou l’homme. Nous nous vantons seulement en Jésus-Christ et Lui crucifié—Ressuscité d’entre les morts, assis à la droite de Dieu, et revenant pour les personnes qui ont cachées leurs vies en Lui, plutôt que dans certaines « bonnes choses » qu’ils font pour Lui.

Pouvez-vous comprendre pourquoi tant de personnes vivent dans la pauvreté et l’impuissance dans leurs vies ? C’est parce qu’ils ne vivent pas dans ce que nous parlons ! Ils sont toujours en train de raisonner avec Dieu et entre eux et avec eux-mêmes du point de vue de ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas et par ce qu’ils ont accompli ou n’ont pas accompli. Ensuite, ils finissent par être soi orgueilleux ou pessimistes. Ils raisonnent toujours sur la base d’eux-mêmes, plutôt que de raisonner devant le royaume invisible et l’ensemble de l’humanité sur la base de ce que Jésus a fait et continue de faire et a encore à faire !

S’il vous plaît, cachez votre vie en Lui. Saturez totalement vos modes de pensée, transformant vos entendements par le renouvellement de Sa Parole, Ses promesses, Son avenir, Sa Vie, Sa mort et Sa Résurrection. Raisonnez toujours de ce point de vue : « Le Père aime le Fils—donc je suis OK, bien. » Nous raisonnons de ce point de vue seulement, et oui, le prince de ce monde est venu, mais il n’a rien en moi parce qu’il n’a rien en Jésus.

Entièrement Persuadé

Donc, qu’est-ce que vous allez faire la prochaine fois qu’un problème se pose dans votre vie, un défi, un échec, ou une sorte de stress ou de douleur ? Qu’est-ce que vous allez faire ? Allez-vous suivre les traces du père de votre foi, et être un fils d’Abraham ? Peut être qu’il y a eu beaucoup de choses sur vous ces derniers temps. Peut-être que les choses ont été difficiles pour vous, et les gens vous exposent le péché dans votre vie. Peut-être vous avez échoués ici et là, ou peut-être que vous avez ressenti la solitude. Quel que soit ce qui se passe, quelqu’un pourrait-il dire de vous : « Assurément j’ai remarqué quelque chose sur vous : vous êtes un fils d’Abraham. Vous n’avez pas vacillé. Vous êtes pleinement convaincu que Dieu est en mesure de tenir Ses promesses. Vous donnez gloire à Dieu au milieu des difficultés et des contradictions. Vous êtes un fils d’Abraham. Je tiens à vous remercier pour cela. » Est-ce que c’est cela que quelqu’un va vous dire, la prochaine fois que vous faites face à quelque chose de difficile ? « Vous êtes une fille d’Abraham, je peux le voir dans vos yeux. » Sans fléchir, pleinement convaincu, donnant gloire à Dieu. « Vous avez un cœur plein de joie et de louange. Vous êtes un fils d’Abraham. »

Par la Grâce de Dieu et la Puissance du Saint-Esprit, par la foi en Jésus-Christ, et la puissance qui travailla en Lui, Le soulevant d’entre les morts—c’est ce que vous êtes. Et c’est ce que vous êtes entrain de devenir d’un degré de gloire à un autre, croissant en persévérance, grandissant en caractère, croissant dans l’image et la ressemblance de Jésus-Christ. L’amour de Dieu est en cours de se répandre dans votre cœur par le Saint-Esprit, jour après jour après jour, d’un degré de gloire à un autre, par la même Puissance de la Parole qui a dit : « Que la lumière soit. » Laissez la Gloire de Dieu dans la face de Jésus Christ briller dans votre cœur, jusqu’au jour qu’Il revienne pour vous sauver et vous ramener à la Maison. Amen.

Si vous avez eu tout cela à cœur, il ne fait aucun doute que Dieu vous remué le passé. Nous avons juste besoin de comprendre comment totalement « mauvais » nous sommes, avant que nous puissions comprendre comment totalement « bons » nous sommes par la Puissance de Dieu dans le Christ Jésus. C’est pourquoi Paul, dans la lettre aux Romains, a écrit les chapitres 1, 2 et 3 avant qu’il n’écrive le chapitre 8. Paul dit que vous ne pouvez prendre aucune fierté d’être un Juif ou un bon Gentil. Les bonnes actions ne peuvent rien faire pour vous. Être une personne sympathique ne peut vous gagner quelque chose aux yeux de Dieu aussi. Il a arraché tout cela loin de nous, nous laissant vide.

Mais Dieu dans le Christ Jésus vous rend plus que conquérants. Vous ne pouviez jamais gagner avant. Vous n’étiez pas « conquérants ». Vous ne pouviez pas vous débattre en dehors d’un sac en papier humide ! Vous n’étiez rien. Mais Jésus de Nazareth a fait de vous plus qu’un conquérant. Recevez les profondeurs de votre péché, afin que vous puissiez recevoir la Gloire qui est en Jésus-Christ, vivant seulement par la foi dans le Fils de Dieu, avec aucune foi restante en vous-même. Tournez-vous vers Dieu et demandez-Lui sur toutes ces choses. Faites en sorte que ces choses pénètrent et travaillent vraiment en vous. Sachez exactement qui vous êtes en dehors de Jésus et ce qui se passe exactement quand vous avez la vraie foi en Lui. Permettez-Lui de vivre à travers vous, à cause de Sa mort et de Sa Résurrection.

Le message de Paul dans Romains 6 est que Dieu est certainement plus que capable d’achever ce qu’Il a commencé. Et Il veut faire tellement plus que juste pardonner nos péchés, « échappés comme à travers les flammes. » Il veut faire de nos vies tellement plus que nous pourrions jamais rêver, plus que nous pourrions jamais demander ou imaginer ! Il est tout à fait capable de faire cela et souhaite vous donner une vie pleine et libre, reflétant Sa Gloire, remplis du même Esprit et de Puissance qui a enlevé Jésus d’entre les morts. Mais la plupart des gens n’expérimentent pas cela, parce qu’ils ne croient pas Dieu. Ils ne croient pas en Lui et ne L’embrassent pas, et ne se tiennent pas debout sur Sa Parole, sans défaillir, en dépit de toutes les preuves. Il n’est pas étonnant qu’ils ne voient jamais la réalisation de celle-ci ! Ils ne l’expérimentent pas, parce qu’ils ne vivent pas par la foi.

« La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend par la voix, ou la Parole de Dieu » (Romains 10). Et juste après cela il dit : « Qu’est-ce au sujet d’Israël, n’ont-ils pas entendu ? » Bien sûr, qu’ils L’ont entendue, mais ils n’ont pas combiné ce qu’ils ont entendu avec la foi. Ils n’ont pas crus et n’ont pas obéis. Ils n’ont pas mis en pratique ce qu’ils ont entendu. Toute la journée Dieu a étendu Ses mains à des « gens obstinés et désobéissants », et ils ne L’ont pas reçu.

Dieu étend Ses mains avec le même appel pour nous dans notre vie. Si nous recevions Dieu et croyions simplement ce qu’Il dit, il ne serait pas nécessaire de mourir dans la pauvreté. Il désire de tout Son cœur de nous changer dans la ressemblance de famille de Son Fils. Il veut nous faire grandir dans la « pleine mesure de la stature de Jésus-Christ », du lever du soleil jusqu’à son coucher. Il est plus que capable de nous changer ! Plus jamais nous avons besoin d’être mis à sac par le péché et poussé sauvagement par nos émotions, les craintes, l’égoïsme, l’orgueil et la luxure. Plus jamais n’avons-nous besoin d’être esclaves aux grognements de nos estomacs et de la fatigue de nos corps. Il ne veut pas que nous soyons soumis aux circonstances de la vie ou aux opinions de ceux qui détestent Dieu et s’opposent à Son Travail. Si nous croyions simplement à Lui et agissions comme si nous croyions, Il nous libérera de tout ça ! Il veut nous libérer de la peine du péché et du pouvoir du péché.

Suppliez Dieu pour qu’Il vous aide à saisir ces choses et à les appliquer, pas seulement avec votre entendement en ce moment, mais jour après jour, lorsque les circonstances de la vie vous frappent en plein visage. C’est ça qu’est le Christianisme, en somme. Vous pouvez aller au ciel sans la compréhension de ces choses, mais vous ne pouvez pas VIVRE dans la Vie et Puissance de Dieu dans cet âge présent, sans les comprendre—c’est impossible ! Vous ne connaîtrez pas l’abondance de la Grâce de Dieu, la puissance et l’autorité de Son cœur, Sa justice et son amour avec une vie de sacrifice et liberté dans l’Esprit, sans la compréhension et l’application de ces choses dans les circonstances de la vie. Vous pouvez « aller au ciel, » mais vous ne manifesterez jamais la Vie de Jésus — la plénitude de la Vie de Jésus —en dehors de ce que nous parlons.

Soyez mes imitateurs, comme je le suis moi-même de Christ ?

Quel était le secret de Paul pour sa vie de plénitude et de liberté dans l’Esprit ? Il a vécu par la foi dans le Fils de Dieu ! Il en est de même pour toute personne (comme Paul) qui n’ait jamais vécu. C’est la seule façon de trouver la Vie et la Puissance de Dieu, là où le péché n’a plus la maîtrise sur nous. Paul pouvait dire : « Imitez-moi comme moi j’imite le Christ. » Pouvez-VOUS dire cela, en ce moment ? Pouvez-vous regarder à un groupe de personnes et dire : « Hé les gars, faites ce que je fais, et vous serez parfaits. Pensez les pensées que je pense, dites ce que je dis, ayez les attitudes que j’ai sous la pression. Suivez ma manière de faire dans mes relations quotidiennes avec Dieu et l’homme, et tout ce passera bien pour vous. Suivez-moi, comme je suis dans les traces du Christ. » Pouvez-vous dire cela ? Si vous ne pouvez pas, vous n’êtes pas vraiment entrain de vivre par la foi de la même manière que Paul. Il pouvait dire tout cela avec une telle confiance et une bonne conscience parce qu’il ne vivait plus—« je suis mort au monde et le monde pour moi. Je n’ai pas besoin du monde et le monde n’a pas besoin de moi. » Le péché ne peut pas maîtriser ce genre de vie, une vie qui est cachée dans le Christ. Il ne disait pas qu’il était sans tentation—« Qui d’entre vous est tenté sans que je brûle intérieurement ? » (2 Cor. 11:29) Il voulait dire : « Le prince de ce monde est venu, mais il n’a rien en moi, parce qu’il n’a rien en Jésus, et je suis vivant en Lui. Je n’ai pas peur. »

Il a dit aux Thessaloniciens : « Vous savez quand j’étais avec vous comment saint et juste et irréprochable j’ai été. » Il a dit : « Vous avez vu ma vie, je l’ai ouverte sur tous les fronts—le jour et la nuit de maison en maison. Vous avez vu de vos propres yeux comment saint, juste et irréprochable j’ai été. » Paul pouvait dire cela avec une bonne conscience, sans vantardise ou forfanterie. Et le Saint-Esprit a confirmé que c’était vrai dans sa vie en l’enregistrant dans les Écritures. Pouvez-vous parler de cela audacieusement et avec une bonne conscience ? (Certains le pourraient, mais leurs confiances proviennent d’une conscience cautérisée/endurcie. Ils ne voient pas comment ridiculement loin leurs vies sont réellement—ils le disent, mais ce n’est pas vrai.)

La Vie que Jésus donne à un croyant vous libère pour parler comme Paul, sans se glorifier, sans se vanter, sans une conscience coupable. Si vous ne pouvez pas dire les mêmes choses, du cœur, avec une claire conscience, ne vous condamnez pas à ce sujet, mais sachez que vous avez un héritage que vous n’avez pas encore exploité. Peu importe ce que votre nom est ou combien de temps vous avez été un Chrétien. Vous avez un héritage ! Et cela ne vient pas par la connaissance ou la volonté. C’est par la foi dans le Fils de Dieu, et c’est accessible pour tous qui croient, d’abord aux Juifs, puis aux Grecs. Il y a une puissance, une dynamite, une « Bonne Nouvelle » qui peut libérer votre vie de l’esclavage de l’égoïsme, l’orgueil, la luxure, la peur, la paresse—quel que soit votre « chose/truc. » C’est votre héritage !

Vous n’avez pas à être un esclave pour pécher plus longtemps ! C’est réel. Ce n’est pas seulement de la poésie ou de bonnes histoires. C’est réel. C’est pour vous, qui que vous soyez. Peu importe combien de fois vous avez échoué dans le passé, si vous vivez tout simplement, tout simplement, par la foi dans le Fils de Dieu, vous ne pourrez pas être un esclave du péché. Quel que soit votre type de personnalité—A, B, C, D, cela ne fait aucune différence—vous pouvez être de Type : )—Jésus. Sur l’autorité de la Parole de Dieu qui a dit : « Que la lumière soit de l’obscurité, » je vous le dis : IL DESIRE POUR VOUS LA PLEINE MESURE DE LA STATURE DE JESUS CHRIST. Tout ce que Jésus a été alors qu’Il était ici dans la chair est accessible à vous en tant qu’individu, maintenant—la pleine mesure de la plénitude de Jésus-Christ, de Gloire en Gloire en Gloire !

Donc, pourquoi ce retard à obtenir un degré de Gloire à un autre ? C’est tout simplement parce que nous n’avons pas encore compris la plénitude de Sa Majesté, Grâce et Puissance ; nous ne voyons pas la profondeur de Son Amour et Engagement pour nous. Le désir de Dieu pour nous est de grandir dans cette foi, et que nous apprenions de plus en plus sur Sa fiabilité, nous jetant de plus en plus de nous-mêmes sur Lui, niveau après niveau. C’est accessible pour tous maintenant, c’est juste que nous n’en avons pas assez vu ! Et si nous le faisions, cela nous consommerait comme pour ceux qui prirent la Terre Promise (Deutéronome 7:22). Nous pourrions exploser si nous avions une idée comment Grand et Impressionnant, Aimant, Généreux et Fidèle Dieu est. Il est tellement incroyablement Complet et Merveilleux, que si nous pouvions le comprendre, on serait comme Hénoc—POUF !! (Genèse 5:24).

Et plus nous croyons et retenons ce que Jésus a fait, plus nous verrons la puissance manifestée de Dieu dans nos vies. Comme Pierre, un simple homme, qui marcha sur l’eau… et comme Paul, vous pouvez dire : « Vous savez combien saint et juste et irréprochable j’ai été. Allez, suivez-moi comme je suis le Christ. » La capacité de parler de cette manière avec une conscience claire, confirmé par Dieu dans l’Esprit Saint, est basée sur notre volonté de croire ce que Jésus a fait et continue de faire. Rien de plus. « C’est le travail de Dieu, de croire sur Celui qu’Il a envoyé. » « L’esprit de la prophétie est un témoignage de Jésus. » Laissez ce témoignage régner dans votre cœur. Laissez-le bouillonner dans chaque attitude et chaque parole sortant de votre bouche.

Pourra-t-IL Trouver La Foi ?

Ohhhh, comment nous voulons que Jésus trouve la foi quand Il retourne ! Le genre de foi qui croit que Sa Parole est vraie et La détient. La prochaine fois que vous êtes tentés d’être brusque avec quelqu’un, orgueilleux, prétentieux, égoïste, ou impatient, peureux, paresseux, vorace… Je vous supplie au nom de Jésus de vous considérez mort au péché. S’agit-il d’un acte de volonté ? * Non, cela veut simplement dire : « Je comprends et saisis ce que Jésus a fait sur la croix. Il a publiquement fait un spectacle de satan, l’humiliant devant les hôtes des Cieux et les peuples de la terre. Il lui a brisé les dents, et maintenant il n’a plus qu’à mordre avec les gencives. Il a rendu satan impuissant, le rendant inoffensif. » Nous estimons et déclarons que ces choses sont vraies ! « Ce que Jésus a fait est la question, pas ce que j’ai fait, ou ce que je suis capable de surmonter—c’est ce que nous voulons dire maintenant, oh hôtes des cieux et peuples de la Terre. » Ce que Jésus a fait, c’est la question et nous placardons cela dans la face de satan en période d’épreuves et de tentations ; de découragement et d’échec.

Laissez votre entendement se transformer et se renouveler par la Promesse et la Personne de Dieu dans le visage de Jésus Christ, haut et élevé, Saint, Saint, Saint. « Il est Ma Sécurité, Il est Mon Espoir, Ma Forteresse, Ma Tour, Mon Rocher, Ma Porte, Mon Chemin, Ma Vérité, Ma Vie, Mon Bon Pasteur.» Il est La Lumière du monde—Jésus de Nazareth. Gloire à Son Nom ! Qu’il règne dans votre cœur. Laissez tout ceci remplir votre cœur et pensées, vous saturant en toute circonstance, et comme Nathaniel, vous verrez aussi la Gloire de Dieu. Vous aussi, vous verrez des anges ascendants et descendants le Trône de Dieu et le marchepied de Dieu. Comme vous croyez aux promesses qui sont « Oui » et « Amen » en Jésus—Christ, vous verrez les choses comme cela—des choses incroyables ! Ne laissez pas le péché régner dans vos corps mortels. Le péché n’a plus de maîtrise sur vous ! Pourquoi ? Réponse vraie et simple : JESUS.

En lisant les mots de Paul, laissez-les tremper dans votre cœur. Laissez-les remplir votre entendement et cœur ; et ayez le contrôle total sur toutes pensées futures concernant votre péché et tentations, les épreuves, les découragements, les échecs et les possibilités. Faites-les tremper… Laissez ces paroles saturer totalement votre cœur et entendement, contrôlant vos réactions dans toutes les circonstances de la vie.

« Maintenant, si l’on est mort avec le Christ, nous croyons que nous allons vivre avec Lui. Car nous savons que depuis le Christ est ressuscité d’entre les morts, Il ne peut plus mourir de nouveau; la mort n’a plus de maîtrise sur Lui. La mort dont Il est mort, Il est mort au péché une fois pour toutes ; mais la Vie qu’Il vit, Il vit pour Dieu. »

« N’offrez pas les parties de votre corps au péché, comme des instruments de méchanceté, mais plutôt offrez-les à Dieu, comme ceux qui ont été ramenés de la mort à la Vie ; et offrez les membres de votre corps à Lui comme des instruments de justice. Car le péché ne doit pas être votre maître, parce que vous êtes non sous la loi, mais sous la grâce. »

« Quoi alors ? Allons-nous pécher parce que nous ne sommes pas sous la loi, mais sous la grâce ? En aucun cas ! Ne savez-vous pas que lorsque vous vous offrez à quelqu’un pour lui obéir comme esclave, vous êtes esclave de celui à qui vous obéissez—si vous êtes esclave du péché, conduisant à la mort ; ou à l’obéissance, ce qui conduit à la justice ? Mais merci à Dieu que, quoique vous étiez esclave du péché, vous avez obéi de tout votre cœur à l’enseignement que l’on vous a confié. Vous avez été libérés du péché et êtes devenu esclave de la justice. »

« Je parle à la manière des hommes, à cause de la faiblesse de votre chair.—De même donc que vous avez livré vos membres comme esclaves à l’impureté et à l’iniquité, pour arriver à plus d’injustice, ainsi maintenant, livrez vos membres comme esclaves à la justice, pour arriver à la sainteté. Car, lorsque vous étiez esclave du péché, vous étiez libres à l’égard de la justice. Quels fruits portiez-vous alors ? Des fruits dont vous rougissez aujourd’hui. Car la fin de ces choses, c’est la mort. Mais maintenant, étant affranchis du péché et devenus esclave de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la Vie éternelle. Car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la Vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » (Rom 6:8-23).

Saint-Père, accorde la foi à Ton peuple. Ouvre les yeux de notre cœur pour voir et comprendre les richesses qui sont dans le Christ Jésus Ton Fils, la plénitude de tout ce qu’Il est et tout ce qu’Il pourrait être pour ceux qui croient tout simplement. Père, s’il Te plaît ouvre nos yeux. Plus de mots, nous venons Te supplier d’ouvrir nos yeux.

* Alors, que signifie tout cela d’une manière pratique dans notre vie ? Paul continue à parler au sujet du péché—la pratique du péché—est vaincue par ce Pacte, que nous avons avec Jésus (chapitre 6). Jésus apporta une alliance tout comme Adam en apporta une. Grâce à Adam, vous êtes un échec total—pécheur, dépravé et vide. Que vous le reconnaissiez ou non, vous êtes sans valeur. Votre bouche est une tombe ouverte. De même que c’est extrêmement tellement vrai, combien de fois plus vrai c’est que vous pouvez avoir la Vie en Lui par la foi en Jésus. C’est en Lui faisant pleinement confiance comme la seule réconciliation dont vous avez besoin avec le Père, et comme la seule chose qui permettra l’accès et la relation avec le Père. Si vous croyez que Jésus peut vous apporter ce « combien de fois plus » genre de vie, alors vous, en fait, règnerez dans la vie.

* Juste au cas où vous croyez toujours que la volonté a quelque valeur, la Bible dit que lorsque nous essayons d’atteindre Dieu par la mentalité de la volonté, essayant de remplir Ses espérances en gardant un genre de norme (même une norme qu’Il a donnée), cela en fait, donne de la puissance au péché. « L’aiguillon de la mort est le péché, et la puissance du péché est la loi » (1 Cor 15:56)—méditez ceci ! Vivre par la « loi » ou autre chose que Sa Parole continuelle et une relation avec Lui, à vrai dire donne de la puissance au péché. Donc lorsque nous coupons tout cela de notre existence, cela enlève la puissance du péché. Si nous nous arrêtons de vivre par notre volonté—le raisonnement avec nous-mêmes, nous comparant nous-mêmes avec d’autres, accomplissant ardemment des bonnes œuvres—si nous nous arrêtions de faire tout cela et plutôt vivre par la foi…le péché serait rendu impuissant.

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